A ceux qui vrillent le nez quand on leur parle de Vierzonitude qui noircit toujours le tableau (alors que le tableau est noir, Vierzonitude ne fait que parler des réalités qui dérangent...), à ceux-là, on leur dit que Vierzonitude aussi parle aussi de ce qui va. Rue Joffre, un propriétaire a pris la mesure du désastre et il a retapé son immeuble et la vitrine avec. Celle de l'ancien bar à chicha, la plus pourrie de la rue, est refaite. Le proprio a refait les appartements, changé les fenêtres, la porte d'entrée, mis une vitrine décente prête à être louée. En avril, nous écrivions : " Si cette initiative va au bout, Vierzonitude n'hésitera pas à la mettre en avant." C'est fait !