Petite gloriole littéraire vierzonnaise : après Amélie Nothomb l'année dernière, c'est au tour de Christine Angot de citer Vierzon dans son dernier roman Un amour impossible chez Flammarion. Oh elle cite juste deux fois la ville page 121 dans ce livre, très bon, qui raconte cet amour impossible entre ses parents qui se sont connus á Chateauroux. La moitié du vivre s'y déroule et Christine Angot déroule de son côté l'amour pour sa mère et les difficiles relatikns qui se nouent ainsi que l'amour du père personnage tout puissant mais absent qui entretient une relation avec la mère de l'écrivain sans jamais se marier avec elle mais avec une autre. Vierzon apparaît alors comle une figuratio sur fond de chemin de fer, dans le livre, la mère de Christine Angot rate un train et vient à Vierzon pour en prendre un autre. Certains diront que c'est anecdotique, Amélie Nothomb dans son avant dernier roman ne servait pas la cause de la ville. Ici Christine Angot reste neutre, c'est déjá une bonne chose. Nothomb et Angot cite Vierzon, Régine Deforges dévoile dans sa biographie ses liens plus intimes avec cette ville notamment pendant la guerre. Comme quoi, la côte de Vierzon n'est pas si mal. A condition de savoir la faire fructifier.
Christine Angot : "On croit l'amour maternel intouchable, il ne l'est pas"
Après l'inceste, le couple, la romancière ausculte l'amour maternel, dans "Un Amour impossible". En laissant s'effacer le "moi" de l'écrivain au profit d'un "je" qui nous embarque tous. Parce qu...
L'écrivaine Régine Deforges avait un petit bout de Vierzon dans le coeur - Vierzonitude
Régine Deforges est morte. Ce qui est paradoxal pour un écrivain. L'île de Ré est en deuil, Ars-en-Ré va mettre les drapeaux en berne, l'hôtel Sénéchal va se sentir orphelin près du cloche...