A bien y réfléchir, il n'y a donc plus de personnalité politique communiste en région Centre-Val de Loire qu'à Vierzon, dernier réservoir connu, en France, pour sa concentration d'adhérents au Parti (calmez-vous les amis, ce n'est pas de l'anti-communisme primaire, juste un constat). Il n'y en a plus ailleurs parce que, le chef de file des élections régionales, la tête de liste régionale, n'est autre que Nicolas Sansu, déjà maire et député, déjà cumulard et semble-t-il, fier de l'être. Ajoutera-t-il une corde à son atrc déjà tendu ?
Apparemment non, car le député-maire de Vierzon sera en position non éligible. Il veut bien faire le bouilot mais il ne veut pas avoir à choisir entre un mandat de cosneiller régional, de maire et de député. De toute façon, il a déjà choisi. C'est étrange ce procédé : on allèche l'électeur avec une vedette en tête de gondole et au moment de passer à la caisse, il se coltine le joueur de fond de cour, pour le même prix en plus ! Etrange méthode mais à laquelle les militants et sympathisants de la gauche radicale vont répondre oui sans sourciller, le but étant de faire gagner la liste, pas un homme. Mais l'électeur qui a déjà dû avaler une couleuvre pour les législatives de 2012, en avalera une autre au second tour des élections régionales : chacque parti part en ordre dispersé, l'union voulue par le P.S en région Centre-Valde Loire 'naura pa slieu. La liste Front de gauche part seule mais va très vite se rabibocher au second tour, histoire de faire front commun contre la droite bla bla, l'extrême droite bla bla, la gauche doit gagner bla bla bla bla. Mais le but du député-maire de Vierzon sera de faire mordre la poussière à son adversaire, ùais avec le quel il ets ami-ami à Vierzon pour diriger la ville.... L'électeur appréciera. Autre but : faire avancer le Front de gauche sur l'échiquer régional de façon à avoir les meilleures places pour le second tour. Un conseil : n'allez pas voter, ça ne sert à rien !