L'article paru dans Le Monde daté du mardi 12 janvier va-t-il réveiller les consciences politiques (on en douite) et itoyennes( on a un peu plus d'espoir). Dans so supplément économique, Le Monde consacre deux pages à la vacance commerces commerciale titrées "Centre-villes à vendres". Le constat est accablant pour Vierzon : "Béziers dans l'Hérault (24%), Vierzon dans le Cher (23,4%) et Calais (20,7%) occupent les trois premières places de ce sinistre podium", écrit Le Monde. L'enquête colle parfaitement aux difficultés vierzonnaises : "une population qui stagne, des revenus moyens en baisse et une part croissante de logements vides." Mais aussi : "les habitants qui continuent de vivre en ville sont désormais plus pauvres que ceux qui ont élu domicile dans les commuens environnantes". D'où les départs de Vierzon pour... Méreau ! Le constat est dur mais tellement réaliste. Nevers comme Vierzon "cherche à maquiller la misère, en finançant la pose d'adhésifs qui figurent des façades en trompe-l'oeil." A Vierzon, on y colle des photos du canal de Berry (rue Joffre, Gifi...)
Malheureusement, le constat n'est pas nouveau mais il s'amplifie. Il s'amplifie à chaque nouvelle fermeture de commerce qui entraine, fatalement, une dégradation de l'envuironnement. C'est la fermeture du magasin Plus en juillet suivi quelques semaines plus tard de la fermeture de la boulangeriue en face... Bien sûr, les plus optimistes diront qu'ailleurs c'est la mmeme chose, or, Vierzon fait quand même partie des trois villes de France qui ont les pires chiffres. Comme d'habitude, cette enquête ne fera l'objet d'aucune réaction politique. Le silence est la meilleure arme des élus. Elle ressemble à de l'indifférence. D'ailleurs, non, c'est de l'indifférence.
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Vierzonnais 12/01/2016 13:33