Cher Jacky Durand, c'est décidément un rendez-vous très agréable de lire, depuis plusieurs semaines maintenant, le nom de Vierzon dans votre chronique culinaire publiée sur le site du quotidien Libération. Nous mesurons toute la difficulté à faire figurer le nom de notre ville, chaque semaine, dans votre chronique échevelée. Et depuis que Vierzonitude vous a convié à venir visiter Vierzon, nous sentons que vous vous régalez à l'idée de trouver l'angle qui fera entrer Vierzon dans vos propos. Nous vous en remercions car c'est plutôt rare de lire le nom de Vierzon dans la presse nationale sans qu'une arrière-pensée négative ne nous égratigne.
"Car il n’y a rien de pire que de biberonner le ventre vide. A moins de se résoudre à rouler sur le gravier du régime sec en regardant les autres toaster comme un grille-pain. On a beau louer les qualités du capitaine de soirée qui vous ramènera chez vous, sobre comme sa Taunus, c’est un sacerdoce encore plus exigeant qu’être dame pipi en gare de Vierzon", écrivez-vous cher Jacky Durand. A quand une chronique dans laquelle vous glisseriez entre deux tranches de ce qui vous arrange, un peu de Jacques Brel en entrée et un bon vieux gros tracteur de Vierzon en dessert. Pour ce qui est de la documentation, nous sommes à votre disposition. En attendant impatiemment de vous lire la semaine prochaine.
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Photo animée Emmanuel Pierrot Avec le triple axel en patinage artistique et le beurre blanc en apesanteur, l'apéritif est l'un des exercices les plus compliqués au monde. Voire périlleux. On ne...
http://next.liberation.fr/food/2016/05/12/l-apero-boire-sans-deboires_1451844
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