Un coup oui, un coup non, un coup d'abstention. Bon, au moins, tout le monde est content. Le député-maire de Vierzon a donc adopté une démarche singulière. Pour le premier vote sur l'état d'urgence, au lendemain des attentats de Paris, c'est oui. Puis, en février, quand il a fallu le proroger, c'st non. Puis enfin, dans la nuit de mardi à mercredi quand il a fallu le proroger de six mois c'est... abstention. Le moins qu'on puisse penser, c'est qu'il doit y avoir une logique, qui nous échappe car sans explications, forcément... Mais le député-maire est-il forcé de s'expliquer ? Nous, on dirait oui, bien sûr, juste pour comprendre. Remarquez, médiatiquement... En février, il faisait partie de la trentaine de députés qui ont voté non. Puis là, des quatre députés abstentionnistes. Oui, non, abstention. Il n'existe pas d'autres catégories de vote. Ah si, l'absence. Mais ça, c'est alleurs.