Lu dans le Parisien.fr : "Reste à savoir si la base, très remontée, suivra ce mot d’ordre. « On n’est pas les petits soldats de Campion, prévient René Hayoun, président de l’intersyndicale des forains. Si depuis lundi les collègues viennent de Rouen, de Pontoise, de Vierzon, c’est pour sauver notre métier qu’on met à mort. » Car, derrière l’affaire emblématique du marché de Noël parisien, la profession (qui revendique 35 000 entreprises et 200 000 emplois directs) reste vent debout contre une ordonnance du 19 avril qui impose aux municipalités d’organiser un appel d’offres pour tous les emplacements publics d’animation."