Un homme qui habite à Vierzon a été obligé de se justifier, dimanche, d'une façon véhémente : "non ce n'est pas un poisson d'avril". Tout a commencé dimanche matin, 1er avril, l'homme qui habite Vierzon s'est fait taper sur l'épaule à plusieurs reprises alors qu'il se promenait dans les rues de Bourges. "Très drôle", "hilarant", "excellent", "mort de rire". L'homme s'est vite rendu compte que quelque chose ne tournait pas rond. Au bout d'une dixième remarque, l'homme qui habite à Vierzon s'est mis en colère en hurlant, sur la trottoir "non, ce n'est pas un poisson d'avril". Une patrouille de police qui passait dans les parages est intervenue pour calmer l'homme qui habite à Vierzon. Interpellé, il a été amené au commissariat, le temps de faire baisser la pression. La police de Bourges a établi que l'homme habite bien à Vierzon et que, non, ce n'était pas un poisson d'avril.