Wizard a bien entendu, toujours raison, les autres ne sont que des cons de faignants pour notre maitre.<br />
Seul le dieu antisocial Wizard détient la vérité, il frôle même la perfection de ce monde!!<br />
O Seigneur Wizard, votre perversion narcissique , jalouse beaucoup de gens, dans ce blog, continuez nous adorons votre mépris des gens! <br />
O céleste divinité, ne soyez pas trop indulgent envers les pôvres crétins, vous risquez de devenir ridicule à votre tour!!<br />
Que la sainte trinité vous pardonne pour votre cruauté si bien calculée envers non pas vos semblables , mais pour satisfaire vos désirs profonds malsains!<br />
Une place divine vous sera offerte, mais à ce jour là , nous viendrons pas vous rejoindre , car ce quartier ne nous correspondra pas!.<br />
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Rire
A propos, j'oubliais, que voit-on sur les photos attachées au post ? Une réunion de l'Académie Française, une délibération du comité Nobel ou encore une répétition de l'Orchestre Philarmonique de Berlin ?
Pas de vacances pour moi cette année.Je bosse pour payer mon crédit et mes impôts.Au moins mon bilan carbone sera vertueux.Pas de voitures.Pas de bus.Pas d'avions.Pas de bateau.
Merci de faire rire, ça n'arrive pas tous les jours à ce point là.<br />
La 1ère règle d'or qu'il faut absolument assimiler relève de l'honnêteté. Il n'y a rien de pire que de faire accroire à des simplets, ignares, incultes, beaufs, pécores, neuneus, glandeurs, cassoces (merci de compléter la liste, je ne vais pas y passer la journée), qu'ils ont quelque chose à dire et qu'ils peuvent constituer un exemple pour l'humanité et par-delà pour l'univers. Tous ces nazes, ne sont qu'une galerie d'échecs, d'impasses, de culs-de-sac, soit tout ce qu'il ne faut surtout pas faire. Le problème c'est que la politique clientéliste (schéma électoral oblige) a un besoin absolu de ces "derniers de la classe" et elle les brosse dans le sens du poil. Revers de la médaille, tous ces mauvais n'ont plus du tout conscience de leur médiocrité et tentent de mordre les mains qui les nourrissent et/ou qui les font vivre.<br />
Seconde règle d'or, il n'y a aucun mystère, chaque français (c'est parfois différent ailleurs) gagne à peu de chose près ce qu'il vaut. Souvent même plus que ce qu'il vaut grâce à cette "redistribution" qui fait les poches des uns pour arroser les autres (toujours les mêmes). Un gros con bien obtus comme on en croise souvent s'imagine donc qu'il peut encore et encore quémander et qu'il aura satisfaction.<br />
Quel homme politique, quelle femme politique, quel représentant sexuel indéterminé mais néanmoins politicien(ne), peut prétendre exprimer ces réalités incontestables ?<br />
Comme on le voit la situation est désespérée pour le Pays puisque plus personne ne comprend où et à quel niveau il trouvera naturellement sa place, la place qui lui revient de fait.<br />
Ce qui sera amusant, c'est ce cocktail entre des factions antagonistes de primaires (primitifs ?) GJ opposées sur tout. Sans parler du piment que constituera l'intrusion dans ce système des vagues d'immigration actuelles ou à venir qui n'ont pas, mais alors pas du tout, les mêmes références ni les mêmes objectifs... <br />
Bonne soirée à Frisson miche pour qui sociabilité signifie sans doute partouze entre les membres du troupeau. Le pseudo est à ce titre bien choisi.<br />
Et Zip, le pôvre, le pôvre Zip, alors c'est quoi ces histoires de retraite et de loyer ? Le problème c'est qu'en France aujourd'hui on file des retraites à des gugusses qui n'ont jamais cotisé ou presque, et on file des APL qui in fine enrichissent des bailleurs et soutiennent la bulle immobilière.<br />
Inutile de hurler avec les loups et de meugler avec les bovins, ça ne vous mènera nulle part.
Z
zip
25/02/2019 11:33
En tout cas , c'est pas avec l'héritage que vous avez laissé derrière vous avec votre soit disante "production représentative", que le pays pourra s'en remettre!<br />
Il est bien de juger les autres , quand votre retraite vous tombe tous les mois au même montant, sans trop tirer la langue pour payer votre loyer.<br />
Les grincheux qui défendent leur pain pour mieux vivre,ont toujours tort, c'est bien connu !<br />
Allez,bon voyage aux Seychelles ,comme toutes les années!
F
Frisson miche
25/02/2019 11:33
Anti social vous êtes antisocial vous resterez.Wizard fidèle à lui même.
W
Wizard
25/02/2019 10:21
Si cette fierté là était vraiment représentative de la France du travail et de la production, nous serions en instance de tiers-mondisation.
Vierzon-sur-Mer
Le phare de l'île Saint-Esprit enfonce son regard oblique dans le ciel rond. L'estran met l'île Marie à portée de terre. Le temps d'une marée basse, elle s'attache au continent dans le ronronnement doux de la mer qui revient. De là où s'effrite le sable, Vierzon jette ses dernières lumières dans la bataille de la nuit. Au petit jour, le Bistrot du port déversera ses cales de croissants tièdes sur les habitués de la Renverse, le bateau du père Seb, le premier à sortir, le dernier à rentrer. Le zinc tanné par les manches des cirés jaunes bavarde ses silences imposés : parfois, dans le bistrot salé, il faut faire place au silence pour mieux veiller aux récits. Le café se remplit chaque heure d'une houle synthétique, fait d'humains en partance, en revenance, entre deux horaires. Il y a la crème des commerçants, le dessus du panier des marins-pêcheurs, la haute société retraitée qui confond les larmes et les embruns, pour ce qu'elles ont de souvenirs iodés à retenir dans les filets. Plus loin, près de la capitainerie, la butte de Sion jette un regard circulaire sur l'ensemble de la ville. Elle ressemble, en ce matin d'été, à l'idéal que l'on se fait du bonheur transversal : entre l'impression d'être ancrée ici tout en étant ailleurs. C'est sûr que la mer aimante ce qu'elle touche. C'est sûr que la mer déverse, sur le sillon des fins reliefs, la preuve que sans elle, Vierzon ne serait pas Vierzon. Le marché fourmille, sur les places centrales. Le soleil, déjà chaud, est à marée haute. Une trace de vent raye l'air lourd à porter. Les bistrots sont accoudés à la curiosité de la foule : c'est étonnant comme les terrasses s'étalent, comme elles semblent animées de l'électricité marine qui, une fois coupée, c'est sûr, rend la mer plate comme une rue piétonne. L'étrange idée qu'on se fait d'être ici n'est rien à côté de cette formidable idée d'y être née. La mer a son industrie propre et son économie personnelle. Vierzon sans la mer aurait ressemblé à ces villes moyennes punaisées au centre de la France sans qu'aucun grain de sable ne déborde de son destin. C'est étonnant d'être d'un continent tout en étant relié à la mer, cette faculté d'être à la fois le solide et le liquide, de défier les loirs de la transparence. J'allonge un pas décidé vers les rues que je préfère, les deux-trois cafés où sont sanglés les derniers secrets du jour et qui m'attendent, comme autant de valises à emporter. Plus on s'éloigne du port, dans le ventre de la ville, plus la ville durcit son statut de ville. Plus on s'enfonce dans la terre, plus la terre vous admet. Entre les rives et la tonitruante cité de l'arrière-ville, deux mondes s'affrontes. Ils étaient quatre jadis, quand la ville éclatée en quatre entités distinctes, se disputaient son destin. Quand plus tard, par raison, la ville a noué ses quatre communes indépendantes, chacune d'entre elles a gardé sa ligne d'eau, ses aspects, son nom, sa façon d'être. Etre de Vierzon ne signifie pas être à Vierzon, mais des Forges, de Villages, de Ville ou de Bourgneuf. Les quatre quartiers bruissent pourtant des vagues qui reviennent, je les entends galoper, pour remettre à niveau, la mer avec la terre. Pour remettre l'île Marie dans sa façon d'être une île. Je suis à la terrasse du café « T'as voulu voir... » Brel y a laissé une dédicace amoureuse. Si Vierzon avait la mer, serait-ce encore Vierzon ou une façon d'être Vierzon ?
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