C'est un choc. Nous venons d'apprendre que la seule lumière divine ne suffit pas à chauffer les églises vierzonnaises. Il va falloir utiliser la science du solaire. Il faut dire qu'avec ses quatre anciennes communes, la ville de Vierzon est bien dotée en maison du seigneur. Et que ça coûte, un tel parc industriel. D'où l'idée d'installer des panneaux photovoltaïques sur le toit des églises pour un peu profiter ce que Dieu aurait créé. Nous le mettons au conditionnel en attendant les preuves. Un petit miracle donc. L'église vierzonnaise se lance dans l'écologie espérant le label "église verte". A quand l'hostie (déjà végane) et le vin de messe bio ?
L'église vierzonnaise envisage même de récupérer les eaux de pluie, c'est bien connu, tout ce qui tombe du ciel est béni. Nous entrons vraiment, à Vierzon, dans une ère nouvelle. Déjà qu'un miracle a eu lieu avec la présence d'une place Jacques Brel en plein centre-ville, un autre miracle va s'accomplir le 29 juin avec un tracteur sur l'esplanade de la Société-Française. En revanche, point de miracle de l'église sur des questions disons plus sociétales. Dans cinq cents peut-être...