Vierzonitude a revêtu sa peau de touriste pour partir à l'assaut de Vierzon, ses bords du Cher, du canal, ses jardins, ses lieux touristiques quoi. A Vierzon, le tourisme se résume à l'office de tourisme, entre la vente de sirops et de gâteaux secs. Mais le tourisme, c'est aussi la volonté de plaire à ceux qui nous visitent. Et là...
Nous sommes entre le Bas-de-Grange et la rue Anatole-France. Là, il y a d'anciens lavoirs qui ont été condamnés.
On peut le comprendre. Mais c'est dommage de ne pas avoir engagé une opération de réhabilitation. D'autant que le coin est plutôt joli. Joli mais vite gâché par ça :
Franchement, n'y-a-t-il vraiment pas de place ailleurs plutôt que de coller ces horreurs dans un endroit paisible et agréable à l'oeil, jugez plutôt :
Mais là encore, aucun effort de mise en valeur. Les pêcheurs viennent souvent ici taquiner le poisson. La place est un no man's land, qui sert de parking (y compris aux camions). Là encore, l'herbe est haute, aucun banc, aucune table pour y pique-niquer, ce n'est quand même pas compliqué de profiter de petits coins sympas pour en faire des coins encore plus sympas ! Regardez encore :
Il suffirait de presque rien comme le chantait Serge Reggiani. Mais apparemment, même presque rien c'est déjà beaucoup....