Le Vierzonnais Baptiste Bouchut (fils du photographe Philippe Bouchut) revient à Vierzon, à ses premières amours de roller-hockeyeur, à savoir les Prédateurs et Vierzon. Il arrive de l'équipe de Caen (Elite) avec laquelle il a remporté un titre de champion du monde. Vierzonitude lui a demandé de nous confier ses sentiments, son retour à Vierzon, les Prédateurs, ses projets, ses ambitions.
De retour à la maison. Quels sentiments vous traversent ?
Je suis content de revenir à Vierzon après huit ans et de voir le club en élite. C’est un peu comme si la boucle était bouclée.
Comment avez-vous vécu vos années à Caen et votre titre de champion du monde ?
Mes années à Caen on été très belles. Un très bon groupe, des supporter géniaux et une structure sérieuse. Nous avions à cœur de gagner un titre mais bon c’est jamais simple. Le titre de champion du monde... Un sentiment extraordinaire presque inexplicable. Une consécration de tous les efforts fournis pendant plusieurs années. C’est aussi étrange de gagner un titre aussi prestigieux à l’autre bout du monde (Nanjing-Chine).
Pourquoi revenir à Vierzon ?
Pour le projet du club, qui est ambitieux, mais aussi pour le rapprocher de la famille.
Quels sont les arguments qui vous ont convaincu ?
Le projet du club bien évidement, mais aussi la confiance qu’il m’apporte. Je vais tout mettre en œuvre pour apporter mon expérience au plus haut niveau à cette jeune équipe.
La saison passée a été interrompue par l'épidémie de Coronavirus. Vous êtes vous fixé un objectif pour 2021 ?
Mes objectifs sont les mêmes depuis plusieurs années.. Etre toujours sélectionné avec l’équipe de France. D’un point de vue club, finir dans le carré final de la coupe de France et être en finale élite.
Le Vierzonnais Baptiste Bouchut est champion du monde de Roller-Hockey ! - Vierzonitude
Biberonné aux Prédateurs, Baptiste Bouchut, le fils du photographe vierzonnais, Philippe Bouchut est sur un petit nuage. Le voilà champion du monde de roller-hockey. Son équipe vient de battre ...
Comment s'est passé ce transfert ? est-ce vous qui avez eu envie de revenir ou les Prédateurs qui sont venus vous chercher ?
Les Prédateurs sont venus me chercher. Aurélien Tricaud m'a appelé pour discuter. Puis les choses se sont mises en place. Il y a aussi Jérémy Ferragu qui m’a donné des arguments qui ont pesé dans la balance.
Vous connaissez bien l'Elite. Quels obstacles Vierzon devra franchir même si ses premiers pas en Elite ont été plutôt remarqués ?
La première année en élite a été très bonne et surprenante pour eux. La deuxième année est souvent la plus compliquée parce qu’il faut faire mieux que la première. Il va falloir plus de maturité hors et sur le terrain.
Un mot sur l'équipe, ses anciens, ses nouveaux.
Je connais la plupart des joueurs, s'il y a une bonne homogénéité sur le terrain et à l’extérieur il y a possibilité de résultats. Avec Rod Voyneau et les frères Novak, qui ont aussi de l’expérience à haut niveau, nous avons tout pour apporter aux autres les conseils appropriés pour l’élite.
Vierzon, c'est votre ville, quel regard portez-vous sur elle ?
Huum... Ca fait bien longtemps que je ne vis plus sur place. Je ne sais pas vraiment.
Les Prédateurs, votre équipe de cœur, quel regard sur le parcours de cette équipe ?
Je suis très content pour le club. Ils avaient à cœur depuis longtemps d’être en élite. Maintenant le plus arrive, il faut y rester mais aussi performer.