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Vierzonitude

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Départementales : le programme du binôme communiste

Publié par vierzonitude sur 19 Mai 2021, 16:02pm

Départementales : le programme du binôme communiste
Départementales : le programme du binôme communiste
Candidat aux régionales et en même temps aux départementales ! - Vierzonitude

Candidat aux régionales et en même temps aux départementales ! - Vierzonitude

Ca doit manquer de candidats, chez les gauche radicale. Parce que ça recycle ! Et ça doublonne. Pour les départementales, le suppléant de Jean-Pierre Charles n'est autre que Fabien Bernagout, d...

http://www.vierzonitude.fr/2021/05/candidat-aux-regionales-et-en-meme-temps-aux-departementales.html

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O
Oui
22/05/2021 13:55
Après les derniers exploits du maire relatés par la presse ce samedi, les candidats vont peut-être regretter d'avoir son soutien !!!
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S
Sortie de crise
20/05/2021 09:48
Heureusement il y a une autre liste de gauche qui veut redonner du sens au débat démocratique, qui priorise l'emploi local et durable avec à la clé des projets vertueux créateur d'emploi mettant en avant les richesses et le patrimoine de Vierzon.<br /> Les candidats communistes n'ont jamais apporté de solution à notre ville. Ils sont là pour cumuler un mandat supplémentaire en s'éloignant de plus en plus des désirs des Vierzonnais. <br /> Redonnons une autre image de notre ville.
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L
LoL
22/05/2021 17:02
@ Sortie de crise. C 'est sûr , avec encore deux mains gauches, on va sûrement applaudir encore mieux et encore plus fort, c'est bien le rêve désiré, d'un faux droitier manchot en manque d'attention!! :-))
G
Georges
20/05/2021 08:07
il va falloir tenir jusqu'en 2026 avec cette municipalité<br /> Ensuite enfin on pourra peut être réélire quelqu'un d'autre qui s'occupera de la ville et pas de ses ambitions personnelles et de placer les amis dans différents postes !!!!
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T
tenirbon
20/05/2021 13:25
A condition que les électeurs se déplacent sinon nous aurons les mêmes, élus par une minorité de vierzonnais(es)<br /> Et peut-être que les emplois précaires promis par Virtuo intéressent N Sansu qui voit en eux de futurs électeurs
S
sirama paul
19/05/2021 17:50
Des candidats communistes qui prétendent défendre l'emploi, mais qui sont favorables à l'invasion des poids lourds étrangers dans les rues de Vierzon, qui passent impunément là où ils sont interdits et qui viendront déverser leurs chargements de produits venus d'Asie et fabriqués par une main d'oeuvre en concurrence directe avec la main d'oeuvre française. Ils ne pourront convaincre que les inféodés au système socialo-communiste et convertis au libre échange du traité de Lisbonne.
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F
Fastbernie
19/05/2021 17:48
Mais quand les communistes arrêteront-ils de se gargariser avec les emplois précaires du projet Virtuo qui n'aboutira JAMAIS!!! Les Vierzonnais en ont assez d'un maire bétonneur, mal élu et dont le goût du secret frôle le pathologique! Le débat démocratique connaît pas! l'opacité du projet Virtuo est incroyable. Le politburo du PC de l'URSS était plus transparent! Cette liste PCF connaîtra donc bientôt le goût de la défaite.
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Vierzon-sur-Mer

Le phare de l'île Saint-Esprit enfonce son regard oblique dans le ciel rond. L'estran met l'île Marie à portée de terre. Le temps d'une marée basse, elle s'attache au continent dans le ronronnement doux de la mer qui revient. De là où s'effrite le sable, Vierzon jette ses dernières lumières dans la bataille de la nuit. Au petit jour, le Bistrot du port déversera ses cales de croissants tièdes sur les habitués de la Renverse, le bateau du père Seb, le premier à sortir, le dernier à rentrer. Le zinc tanné par les manches des cirés jaunes bavarde ses silences imposés : parfois, dans le bistrot salé, il faut faire place au silence pour mieux veiller aux récits. Le café se remplit chaque heure d'une houle synthétique, fait d'humains en partance, en revenance, entre deux horaires. Il y a la crème des commerçants, le dessus du panier des marins-pêcheurs, la haute société retraitée qui confond les larmes et les embruns, pour ce qu'elles ont de souvenirs iodés à retenir dans les filets. Plus loin, près de la capitainerie, la butte de Sion jette un regard circulaire sur l'ensemble de la ville. Elle ressemble, en ce matin d'été, à l'idéal que l'on se fait du bonheur transversal : entre l'impression d'être ancrée ici tout en étant ailleurs. C'est sûr que la mer aimante ce qu'elle touche. C'est sûr que la mer déverse, sur le sillon des fins reliefs, la preuve que sans elle, Vierzon ne serait pas Vierzon. Le marché fourmille, sur les places centrales. Le soleil, déjà chaud, est à marée haute. Une trace de vent raye l'air lourd à porter. Les bistrots sont accoudés à la curiosité de la foule : c'est étonnant comme les terrasses s'étalent, comme elles semblent animées de l'électricité marine qui, une fois coupée, c'est sûr, rend la mer plate comme une rue piétonne. L'étrange idée qu'on se fait d'être ici n'est rien à côté de cette formidable idée d'y être née. La mer a son industrie propre et son économie personnelle. Vierzon sans la mer aurait ressemblé à ces villes moyennes punaisées au centre de la France sans qu'aucun grain de sable ne déborde de son destin. C'est étonnant d'être d'un continent tout en étant relié à la mer, cette faculté d'être à la fois le solide et le liquide, de défier les loirs de la transparence. J'allonge un pas décidé vers les rues que je préfère, les deux-trois cafés où sont sanglés les derniers secrets du jour et qui m'attendent, comme autant de valises à emporter. Plus on s'éloigne du port, dans le ventre de la ville, plus la ville durcit son statut de ville. Plus on s'enfonce dans la terre, plus la terre vous admet. Entre les rives et la tonitruante cité de l'arrière-ville, deux mondes s'affrontes. Ils étaient quatre jadis, quand la ville éclatée en quatre entités distinctes, se disputaient son destin. Quand plus tard, par raison, la ville a noué ses quatre communes indépendantes, chacune d'entre elles a gardé sa ligne d'eau, ses aspects, son nom, sa façon d'être. Etre de Vierzon ne signifie pas être à Vierzon, mais des Forges, de Villages, de Ville ou de Bourgneuf. Les quatre quartiers bruissent pourtant des vagues qui reviennent, je les entends galoper, pour remettre à niveau, la mer avec la terre. Pour remettre l'île Marie dans sa façon d'être une île. Je suis à la terrasse du café « T'as voulu voir... » Brel y a laissé une dédicace amoureuse. Si Vierzon avait la mer, serait-ce encore Vierzon ou une façon d'être Vierzon ?

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