Effectivement , mais c'est comme le Sushi à la MayoNNaise en plus, ça donne plus de goût au plat il parait!! :-))
L
LoL
27/10/2021 22:30
Vive une usine de PQ sur Vierzon , avec tous ces nouveaux restaurants qui s'ouvrent toutes les semaines, on risque d'avoir pas mal d'attentes devant toutes les toilettes de Vierzon!! :-))<br />
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Et puis grâce à ça, on fera sûrement fortune dans cette usine,avec ce papier toilette, car il parait que cela va augmenter prochainement sur le budget des Français, et ça risque de devenir bientôt" la guerre des troufignons"!! :-)
Votre réponse est franchement outrancière et outrageante et certainement a votre image.<br />
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le respect des autres, des opinions des autres qui comme moi et vierzon_hais trouvent vos posts sans internet et d'un humour de bas niveau pour rester correct devrait primer.<br />
le civisme, le respect et l'écoute sont les bases du débat d'idée. mais je constate que ce n'est pas donné a tout le monde.
L
LoL
08/11/2021 10:32
@ Troll Vierzon-hais et son second petit pseudo de substitution:<br />
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Heureux de savoir que mes commentaires sont inutiles et comblent certaines pages de ce blog,que d'autres ne remplissent jamais faute d'argument!! :-)<br />
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De plus cela permet à ceux qui ne savent pas quoi écrire sur ce blog de jolis messages bien utiles et non haineux ,de faire leur petit caca colérique en guise de reconnaissance en suivant constamment les autres!! :-)<br />
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C'est votre point de vu est je m'en Bran..comme l'an 40,et comme pour ceux qui comprennent les commentaires et le sens de l'humour et qui n'emmerdent pas les autres grâce à leur vraie intelligence!! :-)<br />
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Donnez votre point de vu sur les articles serait bien plus utile que de vous palucher sur ceux des autres sans grande raison, mais bon branleur un jour , branleur toujours!!:-))<br />
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Décidément le filtre de Vierzonitude à VRAIMENT des bugs , il serait temps de le réparer rapidement pour éviter ainsi ces trolls qui pourrissent le dialogue de tous et qui ne fait que s'accentuer de jour en jour!!
V
Vierzon_hais
07/11/2021 14:38
Toujours des commentaires inutile de votre part
Vierzon-sur-Mer
Le phare de l'île Saint-Esprit enfonce son regard oblique dans le ciel rond. L'estran met l'île Marie à portée de terre. Le temps d'une marée basse, elle s'attache au continent dans le ronronnement doux de la mer qui revient. De là où s'effrite le sable, Vierzon jette ses dernières lumières dans la bataille de la nuit. Au petit jour, le Bistrot du port déversera ses cales de croissants tièdes sur les habitués de la Renverse, le bateau du père Seb, le premier à sortir, le dernier à rentrer. Le zinc tanné par les manches des cirés jaunes bavarde ses silences imposés : parfois, dans le bistrot salé, il faut faire place au silence pour mieux veiller aux récits. Le café se remplit chaque heure d'une houle synthétique, fait d'humains en partance, en revenance, entre deux horaires. Il y a la crème des commerçants, le dessus du panier des marins-pêcheurs, la haute société retraitée qui confond les larmes et les embruns, pour ce qu'elles ont de souvenirs iodés à retenir dans les filets. Plus loin, près de la capitainerie, la butte de Sion jette un regard circulaire sur l'ensemble de la ville. Elle ressemble, en ce matin d'été, à l'idéal que l'on se fait du bonheur transversal : entre l'impression d'être ancrée ici tout en étant ailleurs. C'est sûr que la mer aimante ce qu'elle touche. C'est sûr que la mer déverse, sur le sillon des fins reliefs, la preuve que sans elle, Vierzon ne serait pas Vierzon. Le marché fourmille, sur les places centrales. Le soleil, déjà chaud, est à marée haute. Une trace de vent raye l'air lourd à porter. Les bistrots sont accoudés à la curiosité de la foule : c'est étonnant comme les terrasses s'étalent, comme elles semblent animées de l'électricité marine qui, une fois coupée, c'est sûr, rend la mer plate comme une rue piétonne. L'étrange idée qu'on se fait d'être ici n'est rien à côté de cette formidable idée d'y être née. La mer a son industrie propre et son économie personnelle. Vierzon sans la mer aurait ressemblé à ces villes moyennes punaisées au centre de la France sans qu'aucun grain de sable ne déborde de son destin. C'est étonnant d'être d'un continent tout en étant relié à la mer, cette faculté d'être à la fois le solide et le liquide, de défier les loirs de la transparence. J'allonge un pas décidé vers les rues que je préfère, les deux-trois cafés où sont sanglés les derniers secrets du jour et qui m'attendent, comme autant de valises à emporter. Plus on s'éloigne du port, dans le ventre de la ville, plus la ville durcit son statut de ville. Plus on s'enfonce dans la terre, plus la terre vous admet. Entre les rives et la tonitruante cité de l'arrière-ville, deux mondes s'affrontes. Ils étaient quatre jadis, quand la ville éclatée en quatre entités distinctes, se disputaient son destin. Quand plus tard, par raison, la ville a noué ses quatre communes indépendantes, chacune d'entre elles a gardé sa ligne d'eau, ses aspects, son nom, sa façon d'être. Etre de Vierzon ne signifie pas être à Vierzon, mais des Forges, de Villages, de Ville ou de Bourgneuf. Les quatre quartiers bruissent pourtant des vagues qui reviennent, je les entends galoper, pour remettre à niveau, la mer avec la terre. Pour remettre l'île Marie dans sa façon d'être une île. Je suis à la terrasse du café « T'as voulu voir... » Brel y a laissé une dédicace amoureuse. Si Vierzon avait la mer, serait-ce encore Vierzon ou une façon d'être Vierzon ?
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