La gauche vierzonnaise se tape sur le ventre en s'auto-félicitant de leur gestion. Résultat : la population est passée de 27.113 habitants lors du recensement de 2013 à 25.725 au recensement de 2018, soit 1388 habitants en moins. Chapeau les artistes !
Eux qui, lorsqu'ils étaient dans l'opposition, attribuait la baisse de la population à la politique de la majorité précédente... Quel camouflet ! Tous les quartiers sont touchés, y compris ceux pour qui l'effort de la rénovation urbaine a déroulé des millions d'euros.
Deux quartiers gagnent... 34 habitants à eux deux, la blague. Mais, chut... La gauche n'aime pas la critique, elle n'aime que les rondeurs de son bilan arrangé. Mais une ville qui perd des habitants (oh oui, Vierzon n'est pas la seule, on adore ce couplet...) est une ville qui périclite. Cela signifie que des gens partent mais ne sont pas remplacés.
Pourquoi ? Hou là, la gauche n'aimerait pas les réponses. On attend les vœux du maire avec impatience...