C'est dingue l'impunité politique. Jusqu'au jour où l'outrance vous rattrape. Les communistes que rien n'arrête, s'imaginent ainsi multiplier les erreurs sans que personne ne bronche, surtout dans la majorité municipale.
C'est vrai que ce troisième mandat est celui de l'impunité. Elue sur un malentendu, et mal élue, cette majorité dominée par le communisme le plus radical, se prend pourtant les pieds dans le tapis. Si elle se croit tout permis, il existe, heureusement, quelques élus clairvoyants...
Après la destruction de prairies pour y monter un projet de plateforme géante, vivement contesté à Vierzon, les élus communistes persistent dans la vente d'un patrimoine historique qu'est la maison de Célestin Gérard. Que ce soit l'écologie ou le patrimoine, les élus du PCF remplacent leur faiblesse numérique par la grossièreté de leur entêtement. Au mépris de la démocratie la plus élémentaire.
Même les Socialistes pourtant anesthésiés depuis 2008, estiment que la vente de la maison de Célestin Gérard manquent de clarté et que le prix est sous-évalué. Ce qui ne les empêche pas d'être d'accord pour cette vente.
Ce n'est pas tout : alors que les élus voulaient sacrifier le square des remparts, rue Armand-Brunet pour y construire des logements sociaux, nos indétrônables Pépone veulent maintenant sacrifier un espace arboré au Clos-du-Roy et condamné les résidents de l'Ehpad à regarder un mur (mais on ne sait pas de quoi) au lieu de laisser leurs yeux caresser des arbres.
Sans compter la place Jacques-Brel, enfin reconnu à sa juste valeur comme une "hérésie architecturale", disent nos amis socialistes, et voilà comment dans cette ville, on commence à voir clair. Il était temps. Encore quatre ans à tenir.