Va-t-on nous refaire le coup des écoles parisiennes mais à grande échelle ? Chat échaudé craint l'eau froide dit-on. Pourtant, le campus numérique, dans le B3 de la Française, est dimensionné pour recevoir plusieurs centaines d'élèves en 2023. 300 nous dit-on, ce qui a valu cette débauche d'argent public, quatre millions d'euros. On a beau vouloir y croire, quand deux écoles parisiennes font miroiter des élèves, que la ville de Vierzon et la communauté de communes s'empresse d'engager 425.000 euros et qu'ao bout du compte, iol n'y en a aucun, on peut douter du reste.
Pourquoi ? Parce que sur twitter, on apprend qu'Algosup, l'école pour laquelle le campus numérique se construit, il y a 42 élèves, plus 19 qui ont fait leur rentrée sur le campus connecté. Sans compter sur les élèves des écoles parisiennes sur lesquels ont ne pourra pas compter. Alors, ça fait 42 élèves d'un côté 19 de l'autre = 300 élèves promis à la rentrée 2023. Ah oui, le compte y est... pas.