L'opposition Vierzon 2020 a souhaité connaître les dépenses, "au contraire très utiles mais interrogeant nombre de vierzonnais et méritant plus de transparence : le CCAS (Centre communal d'actions sociales)."
L'opposition Vierzon 2020 souhaite "un rapport d’activité concernant le CCAS de Vierzon. Comment est dépensé le million d’euros de subventions alloué au CCAS ? Nous sommes interrogés par les Vierzonnais sur ce qu’ils appellent des « anomalies « de gestion, à savoir : Pourquoi paie-t-on sur le budget du CCAS une assistante sociale affectée à 100% au commissariat de Vierzon ? Quel est le lien entre le CCAS et le commissariat ?
Comme l’indique le rapport de la cour des comptes, pourquoi la mairie finance à 100 % une carte essence, une voiture de fonction au président du CCAS. Nous espérons simplement que ceci n’est pas le fruit d’un accord d’appareil politique. Le coût annuel approchant les 10 000 €. Si le président du CCAS a besoin d’une voiture, ce qui peut s’entendre, il serait préférable qu’il utilise les voitures de service du CCAS.
L'opposition veut aussi connaître "les modalités d’attribution du marché" à une association berruyère, pour l’exploitation du restaurant social l’Entremets ? "Combien de candidats ont répondu au marché ? Bien que furtivement publié sur le site la centrale des marchés.com pendant seulement 19 jours, les acteurs locaux nous ayant confirmé qu’ils n’ont jamais eu connaissance de ce marché et s’étonnent qu’il soit attribué au Relais, association berruyère, émanation du parti socialiste de Bourges."
Concernant l’Entremets, l'opposition souhaite également, pour un prochain conseil municipal, "avoir un premier retour d’informations sur son activité et sur ses projections d’activité. Nous entendons divers sons de cloches et nous nous interrogeons sur la pérennité de son mode de financement à savoir une tarification en fonction des revenus des utilisateurs. Nous émettons des doutes sur le fait que des personnes acceptent sur le long terme de payer un repas 12 € pour permettre à d’autres de payer ce même repas moins cher sachant que ceux qui paient 12 € ont de plus en plus de mal à le faire."