"Acceptons d'être surpris", s'enthousiasmait François Bonneau, le président de la région Centre-Val-de-Loire, lors de l'inauguration, mercredi du campus numérique. Il a dû être effectivement surpris, à la lecture de la presse locale, à propos de la déconfiture de l'école privée Algosup. Avec 35 élèves seulement, 10 à 15 élèves pourraient quitter le cursus qui ne correspond pas au contrat de base.
"Il faut que l'enseignement supérieur irrigue ce territoire, car il est indispensable", disait encore le visionnaire François Bonneau à Vierzon. Pour l'instant, c'est le doute supérieur qui irrigue le territoire. Car la question qui se pose aujourd'hui est simple : l'école est-elle viable et que vont devenir les locaux désormais trop grands ?
François Dumon, le visionnaire en chef de la communauté de communes nous expliquait "que Vierzon a non seulement un passé mais surtout un avenir". La presse locale a montré qu'il était compromis... "Un avenir qui passe par les étudiants attendus à la rentrée, entre cent et cent cinquante", écrit la presse locale. Mais cela risque d'être beaucoup moins.
Vierzonitude avait déjà émis, et à de nombreuses reprises, des doutes, notamment au niveau du coût (9.500 euros) et de l'endettement des élèves et de leurs familles. La presse locale a écrit :
"Trois mamans du collectif annoncent que « par désespoir, nos trois enfants vont s’en aller. Algosup, c’est 9.500 euros. On est en région parisienne, on paie des logements, les transports… » L’un de leurs enfants « a même fait un emprunt de 50.000 euros. Nous étions tous très emballés. Mais entre les mots et la réalité, il y a un gouffre. »
Madame Faucille et Monsieur Marteau ouvrent une école privée à Vierzon - Vierzonitude
Aujourd'hui, Madame Faucille et Monsieur Marteau ouvrent une école privée à Vierzon. Madame Faucille, qu'une nostalgie écolière étreint régulièrement quand elle repense à l'odeur de la cra...