"À l'arrière des dauphines
Je suis le roi des scélérats
À qui sourit la vie"
chantait Alain Bashung. C'est le Vierzon des Dauphine, des Quatre chevaux et des Simca, le Vierzon en bas de la rue de la République, avec son cortège impressionnant de voitures. Le carrefour tel qu'il est ne semblait pas poser de problème alors que celui actuellement est d'une hérésie sans frontière. C'est attirant, non, cette façon d'avant, comme une envie féroce de passer la tête dans la photo et d'espérer qu'un trou de ver s'ouvre pour passer de l'autre côté.