Au fait, le bilan de la Biennale d'art contemporain qui a coûté un bras, toujours pas ? Rappelons que la ville de Vierzon a encore versé 20.000 euros de subvention pour le Fonds régional d’art contemporain (Frac) Centre-Val de Loire lors du dernier conseil municipal début octobre.
Dans le jardin de la Française, on est tombé là-dessus :
On ne sait pas si les barrière métalliques font partie de l'œuvre, avec les artistes vous savez... Adossé à cette installation, cette explication :
"L'artiste utilise ici de la Phytolacca americana, une plante qui pousse dans les écosystèmes de friches industrielles, récoltée par ses soins au sein de l'Usine La Française (le B3)." Sérieux ? Voilà qui montre surtout l'état du patrimoine industriel de Vierzon que nos chers élus refusent de restituer à leur propre histoire. On en reste pantois !
Conseillons à cet artiste de prélever aussi l'herbe des trottoirs de Vierzon, de prélever les arbres du lit du canal, les broussailles des fours à globe pour en faire des tisanes à servir chaud pour nos élus, il parait que c'est bon pour le jenfoutisme.