Pourquoi rien ne semble résister à ce désir de briser, de casser, de détruire, d'abîmer ?
D'aucuns diront que c'est une généralité qui n'est pas propre à Vierzon, en cela personne ne dit le contraire.
Mais tout de même, c'est ici que ça se passe : les vitres de l'ancien garage en haut de l'avenue du 14 juillet ou encore ce mur de la rue des Ponts (accident ?), sans compter le pot de l'olivier place Jacques Brel.
En tout cas, des lecteurs le remarquent et s'en émeuvent.
Suite et fin de l'olivier de la place Jacques Brel, victime d'une combustion spontanée ou d'une brusque remontada du thermomètre. Il laisse sur les pavés la même trace que les envahisseurs laissent quand ils meurent. David Vincent les a vus.... (Photos d'une lectrice)