La gratuité des bus promise par l'ex-maire Nicolas Sansu lors de sa campagne, en 2020, était donc un gros mensonge. Une promesse écrite noir sur blanc dans la presse locale.
Trois ans plus tard, il explique, lors d'un conseil municipal : "Actuellement le réseau de transport coûte entre 30 et 35 euros d’impôts par Vierzonnais. On peine déjà car notre commune est étendue.../..."
En 2020, bien sûr, alors qu'il gérait la ville depuis douze ans, il ne le savait pas. Mais en 2023, tout d'un coup, alors que les transports publics sont payants, il explique que c'est compliqué financièrement et son adjointe aux services publics confirme :
Mais alors pourquoi en avoir promis la gratuité si ce n'était pas possible ? Bilan : un nouveau délégataire et des usagers (très) mécontents.