Le maire Nicolas Sansu avait promis, lors de la campagne des dernières élections municipales, en 2020, de rendre gratuits les bus gratuits. "C’était une promesse de campagne", avait reconnu Jill Gaucher, chargé des services publics. Donc, une promesse en l'air...
D'ailleurs, l'ex-maire et actuel député savait très bien que sa promesse n'avait pour but que d'allécher l'électeur. Et qu'au moment où il le promettait, il savait très bien que ce ne serait pas possible.
En septembre dernier, lors du conseil municipal, il expliquait ceci : "Pour une collectivité comme la nôtre, mettre 800 000 € de subvention d’équilibre c’est beaucoup, mais pour avoir un service parfait c’est 1,5 millions d’euros. Nous sommes dans l’incapacité de mettre une telle somme."
Et le réseau de bus est concédé, dont dans le cas d'une gratuité, la ville aurait du supporter une somme bien plus énorme ! Et à l'époque, le maire de Vierzon avait une parfaite connaissance des comptes de la ville. Alors, en 2026, les promesses de cette majorité devront être prises avec d'autant plus de pincettes qu'à ce niveau là, promesse rime avec gros mensonge.