Tellement "limitée l'attractivité du territoire" de Vierzon que le Festival du film de demain dont l'insoutenable suspense (édition ou pas en 2025) nous a tenu éveillé tout l'été et tout l'automne, finalement aura bien lieu sur quatre jours. Tout ce tapage pour finalement rester.
D'après ce qu'on a compris, les collectivités publiques, ville et communauté de communes ne donneront pas de 105.000 euros, presque le surplus que la ville devra payer pour les changements concernant les lignes de bus (130.000 euros).
Tout le monde s'est serré la main et tout le monde a vu son intérêt : les uns parce que les subventions étaient acquises, les autres parce que le festival fait retomber sa manne sur Vierzon. La maire le chiffre à 80.000 euros injectés dans l'économie locale, quand on sait que la ville et la communauté de communes verse 105.000 euros de subventions sonnantes et trébuchantes, on peut dire que la ville et la CDC subventionnent l'économie locale.
Le festival chercher d'autres sources de financement, et refuse d'augmenter le tarif au public, de toute façon, l'un dans l'autre, comme les recettes des entrées ne financent qu'une infime partie du budget, c'est tout de même le public qui indirectement par ses impôts paye sa place plus cher tout de même. Mais ne boudons notre plaisir de croiser des vedettes sur la croisette de l'esplanade de la Française qui, en plus sera renaturée pour juin 2025. Tout va bien dans le meilleur des mondes.