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Vierzonitude

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La majorité municipale de Vierzon l'a dans l'union

Publié par vierzonitude sur 22 Décembre 2024, 17:47pm

La majorité municipale de Vierzon l'a dans l'union

On peut dire que la majorité municipale de Vierzon l'a dans l'union. Tandis que le député Nicolas Sansu vante l'union au niveau national, les élus LFi lui avaient préparé une amère surprise lors de la venue de Lucie Castets la jamais première ministre du NFP. Le Berry nous apprend que des militants LFI de la liste Imaginons Vierzon, menée par Thibault Lhonneur, distribuait des tracts à l'entrée de la salle Madeleine Sologne où le show Sansu-Castets se tenait.

Alors que le député veut faire croire que l'union des gauches est possible, LFI démontre le contraire dans son propre fief vierzonnais. Mais l'union n'existe à Vierzon que pour servir de strapontin aux communistes. Le P.S s'est couché, les écolos sont inexistants, mais Thibault Lhonneur voir bien que rester à la traîne du P.C ne sert pas la ville.

En désaccord sur la plateforme géante Virtuo et la façon d'aborder l'insécurité à Vierzon, Thibault Lhonnneut fait entendre régulièrement sa voix d'opposant bien mieux parfois que l'opposition elle-même. Le député n'a pas apprécié car comment fera-t-il réélire les siens et comment pourra-t-il s'assurer de retrouver sa place de maire s'il est battu aux prochaines élections législatives.

En tout cas, voilà qui est saint. Il existe des élus à Vierzon qui voient l'intérêt de la ville avant l'intérêt des partis. Après quatorze ans de gestion communiste, la ville est au plus bas, et la seule préoccupation actuelle des élus est de savoir comment ils vont survivre aux prochaines municipales. Soit 2026 marque une rupture avec la gestion actuelle, soit Vierzon ne s'en relèvera pas.

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Bien sûr que Jacques Brel est venu à Vierzon, la preuve !
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L
Le vierzonnais
25/12/2024 17:00
Joyeux Noël <br /> https://youtu.be/aFZE9ouPKdE?si=N2DXlFTq0pagp5Y9
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C
Charlotte
23/12/2024 16:22
https://youtu.be/qRFGKVOgyqk?si=bCEoTTSRGTg-DKxO<br /> <br /> A voir les têtes blanches qui assistaient jeudi 19 décembre au meeting de Nicolas Sansu et Lucie Castets pour implorer une improbable union à gauche derrière le député ex maire de Vierzon, on peut se poser des questions sur le renouvellement de la base militante et électorale d’un parti communiste moribond qui ne représente plus que 2% électoralement.<br /> Alors que à la même heure se tenait à Paris une conférence de Jean Luc Melenchon devant un public beaucoup plus jeune, comme en atteste la vidéo YouTube et le lien ci dessus. Conférence suivie en direct par quelques 7000 abonnés YouTube.<br /> La jeunesse de gauche et écologiste serait elle en train de choisir son avenir dans l’insoumission avant gardiste ?
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L
Leontov
23/12/2024 12:28
Gageons qu’au nom de la lutte contre l’extrême droite, ceux élus rentreront dans le rang après avoir fait semblant de s’opposer. Comme la dernière fois !
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O
Oui
23/12/2024 09:25
La maison Sansu prend l'eau, elle sera bientôt dans le même état que la maison dite de Jeanne d'Arc... en moins patrimoniale !!!
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A
Antidote
23/12/2024 07:14
Bravo aux téméraires militants insoumis Vierzonnais qui osent se dresser contre la domination d’un parti moribond qui rugit comme un fauve blessé, mais ne mord pas. Le 19 décembre Sansu et Castets faisaient leur réunion ici devant un parterre de vieux militants endormis qui croient encore au père Noël. A la même heure Mélenchon tenait à Paris une conférence face à un public jeune et enthousiaste, rien à voir avec Vierzon. Les discours éculés et passéistes du PCF local comme national sont à ranger au musée des vieilles rengaines.
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A
Alliance populaire
22/12/2024 21:44
En 2026,Sansu-Dumon réélus dès le 1er tour comme en 2020?
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C
Cincinnatus
22/12/2024 18:12
VOLTAIRE l'avait écrit (ou un autre, selon certains) :"Gardez-moi de mes amis ; mes ennemis, je m'en charge". Face à une opposition silencieuse, atone, Nicolas SANSU peut faire confiance à ses amis (mais le sont-ils ?) pour le démonter... Vivement 2026...
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Vierzon-sur-Mer

Le phare de l'île Saint-Esprit enfonce son regard oblique dans le ciel rond. L'estran met l'île Marie à portée de terre. Le temps d'une marée basse, elle s'attache au continent dans le ronronnement doux de la mer qui revient. De là où s'effrite le sable, Vierzon jette ses dernières lumières dans la bataille de la nuit. Au petit jour, le Bistrot du port déversera ses cales de croissants tièdes sur les habitués de la Renverse, le bateau du père Seb, le premier à sortir, le dernier à rentrer. Le zinc tanné par les manches des cirés jaunes bavarde ses silences imposés : parfois, dans le bistrot salé, il faut faire place au silence pour mieux veiller aux récits. Le café se remplit chaque heure d'une houle synthétique, fait d'humains en partance, en revenance, entre deux horaires. Il y a la crème des commerçants, le dessus du panier des marins-pêcheurs, la haute société retraitée qui confond les larmes et les embruns, pour ce qu'elles ont de souvenirs iodés à retenir dans les filets. Plus loin, près de la capitainerie, la butte de Sion jette un regard circulaire sur l'ensemble de la ville. Elle ressemble, en ce matin d'été, à l'idéal que l'on se fait du bonheur transversal : entre l'impression d'être ancrée ici tout en étant ailleurs. C'est sûr que la mer aimante ce qu'elle touche. C'est sûr que la mer déverse, sur le sillon des fins reliefs, la preuve que sans elle, Vierzon ne serait pas Vierzon. Le marché fourmille, sur les places centrales. Le soleil, déjà chaud, est à marée haute. Une trace de vent raye l'air lourd à porter. Les bistrots sont accoudés à la curiosité de la foule : c'est étonnant comme les terrasses s'étalent, comme elles semblent animées de l'électricité marine qui, une fois coupée, c'est sûr, rend la mer plate comme une rue piétonne. L'étrange idée qu'on se fait d'être ici n'est rien à côté de cette formidable idée d'y être née. La mer a son industrie propre et son économie personnelle. Vierzon sans la mer aurait ressemblé à ces villes moyennes punaisées au centre de la France sans qu'aucun grain de sable ne déborde de son destin. C'est étonnant d'être d'un continent tout en étant relié à la mer, cette faculté d'être à la fois le solide et le liquide, de défier les loirs de la transparence. J'allonge un pas décidé vers les rues que je préfère, les deux-trois cafés où sont sanglés les derniers secrets du jour et qui m'attendent, comme autant de valises à emporter. Plus on s'éloigne du port, dans le ventre de la ville, plus la ville durcit son statut de ville. Plus on s'enfonce dans la terre, plus la terre vous admet. Entre les rives et la tonitruante cité de l'arrière-ville, deux mondes s'affrontes. Ils étaient quatre jadis, quand la ville éclatée en quatre entités distinctes, se disputaient son destin. Quand plus tard, par raison, la ville a noué ses quatre communes indépendantes, chacune d'entre elles a gardé sa ligne d'eau, ses aspects, son nom, sa façon d'être. Etre de Vierzon ne signifie pas être à Vierzon, mais des Forges, de Villages, de Ville ou de Bourgneuf. Les quatre quartiers bruissent pourtant des vagues qui reviennent, je les entends galoper, pour remettre à niveau, la mer avec la terre. Pour remettre l'île Marie dans sa façon d'être une île. Je suis à la terrasse du café « T'as voulu voir... » Brel y a laissé une dédicace amoureuse. Si Vierzon avait la mer, serait-ce encore Vierzon ou une façon d'être Vierzon ?

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