Des parents de judokas adressent une lettre ouverte au maire de Vierzon pour la survie du club du Dojo Vierzonnais. Mais il est trop tard, le club et ses 130 licenciés n'existent plus. Et qui s'en est ému parmi les élus ? Personne... Décidément, entre les clubs et les entreprises qui disparaissent sans que personne n'y trouvent rien à redire, étrange non ?
Le Dojo Vierzonnais fermerait ses portes... C'est tout je judo Vierzonnais qui est touché.
Très plébiscité par les jeunes, il offre un lieu unique à vierzon de formation, d'école et de partage, source d'intégration. Ce sont des valeurs qui, nous savons, vous sont chères.
Nous souhaitons souligner la qualité des intervenants du club qui dédient bénévolement leur énergie, leur inventivité au sein des cours comme des animations tout au long de l'année.
Ne les abandonnons pas.
Nous regretterions amèrement qu'une solution ne soit pas proposée quand on connait les efforts de notre municipalité pour les associations et pour le sport, dans un contexte économique on le sait compliqué pour les communes. La salle saint Eloi quand on mesure le coût d'achat et les travaux, pour un nombre restreint de bénéficiaires, illustre le soutien que la Ville peut apporter au monde associatif. Celui nécessaire au Dojo Vierzonnais est bien moindre pour lui permettre sa survie et profite à bien plus. Il ne représente que 1/10ème de ce coût.
Nous nous laissons donc à penser que d'ici peu le club du Dojo Vierzonnais trouvera auprès de vous le soutien nécessaire à sa survie.
Des parents de judokas