Un lecteur de Vierzonitude nous envoie ceci :
"Le point de vue écologique est tout prouvé. Le gaz contenu dans la bouteille, lors de la réaction chimique exothermique, c'est-à-dire avec dégagement de chaleur, se transforme à 85 % en vapeur d'eau invisible mais eau H2O tout de même, comme celle du robinet. Les 15 autres % restants sont essentiellement du gaz carbonique CO2 et pratiquement sans libération de micro particules contrairement aux moteurs diesel. C'est ce qui fait l'intérêt des véhicules automobiles roulant au GPL, car ce GPL est, à peu de chose près, le même gaz que celui contenu dans la bonbonne du désherbeur thermique. La grosse différence est la taxe appliquée. Pour la bonbonne, il s'agit de la TVA. Pour le GPL, il s'agit de la taxe sur les carburants et tout le monde imagine la différence de ratio entre les deux. C'est aussi pour cela qu'à l'intérieur des ateliers d'usine les chariots élévateurs à fourches, s'ils ne sont pas à force motrice électrique, utilisent le gaz comme carburant afin de ne pas polluer et en accord avec les normes sanitaires.
Une précaution à prendre: il ne faut pas calciner la plante afin d'éviter ensuite l'émission de particules carbonée dans l'atmosphère. Il faut juste la chauffer afin de détruire les molécules de protéine de cette plante qui finira, au bout de quelques jours par sécher, un peu comme l'herbe de nos pelouses en ce moment. Mais il ne s'agit pas d'un problème écologique du procédé, seulement d'une bonne formation des opérateurs.
Il faut donc cesser de faire cette désinformation non étayée et non vérifiée à chaque post sur ce sujet. En ce qui me concerne et pour une fois, je félicite les décideurs municipaux qui ont opté pour cette technique de désherbage car elle est la plus écologique possible."
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micka 15/09/2016 15:48
Cassandre 15/09/2016 10:20
vierzonitude 15/09/2016 15:41
LEROY 15/09/2016 15:37
Tournesol 15/09/2016 13:41
Tournesol 14/09/2016 21:06