C'est dingue ! Pour vendre l'ancienne clinique du Bas de Grange, la ville passe par une délibération (ce sera le vas lors du conseil municipal du 23 juin) dans laquelle on peut lire qu'elle vend ce bien immobilier pour 250.000 euros. Mais, contrairement à la délibération d'il y a un an, que la ville a d'ailleurs retiré après que Vierzonitude a mis son nez dedans, il n'y a pas le nom de l'acheteur... Normal, puisqu'il s'agit là, d'une vente de bien immobilier et non pas d'un petit arrangement entre amis.
D'ailleurs, contrairement à l'annonce de la vente de la maison de Célesin Gérard, qui n'apparaissait sur aucun site, la ville approuve même la diffusion de l'offre de vente du bien sur le site Internet de la commune et sur le site "Le Bon coin". Dommage que la maison de Célestin Gérard n'a pas bénéficié de ce même traitement... En fait, c'est la transparence vierzonnaise à la carte. Un coup, oui, un coup, non !
C'est fou comme on peut faire les choses dans les clous et comme on peut choisir de ne pas le faire, de laisser l'opacité envahir un projet de vente, de choisir son acheteur à la tête du client, c'est le cas de le dire, et même de prendre en charge les frais de notaire, enfin que les contribuables prennent en charge les frais de notaire.
Mais surtout, on vend un bien immobilier 70.000 euros plus cher qu'une maison de maître, restaurée à grands renforts de subventions. Il n'y a désormais plus de limite au no limit. Pas étonnant que les électeurs baissent les bras... Seuls ceux aveuglés par la lumière divine vote encore, savent-ils au moins pourquoi ?