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Vierzonitude

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Dépôts d'ordures sauvages, une incivilité quotidienne

Publié par vierzonitude sur 4 Septembre 2017, 15:51pm

Dépôts d'ordures sauvages, une incivilité quotidienne

Dans son dernier bulletin d'information (n°20), la communauté de communes de Vierzon consacre un article aux dépôts sauvages et les qualifient d'incivilité quotidienne. Relayons et surtout soutenons cet article qui explique que "force est de constater que certains habitants ont la mauvaise habitude de se débarrasser de leurs déchets sur les espaces publics".

Un phénomène que Vierzonitude met constamment en relief. Satisfait que la communauté de communes prenne le relais. "Ces gestes d'incivilité de plus en plus récurrents, non respectueux de notre environnement, peuvent également devenir dangereux pour les piétons, notamment ceux à mobilité réduite ou ceux poussant un landau, qui sont alors contraints d'emprunter les voies réservées aux véhicules." 

La communauté de communes rappelle que "tout dépôt sauvage ou abandon de déchets, y compris à l'entrée des déchetteries, est interdit et passible de contravention relevant du code pénal et dont les montants varient entre 150 et 1.500 euros selon l'importance et la nature des dépôts."

Mais surtout "se débarrasser sauvagement de vos déchets est un coût supplémentaire pour la collectivité et donc pour votre porte-monnaie. C'est également une difficulté supplémentaire, une perte de temps, et un manque de respect pour l'ensemble des personnels obligés de ramasser et de trier manuellement ces détritus."

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L
Lucide.
04/09/2017 19:02
C'est très bien de faire l'éloge de M Braouzec, Homme politique lucide qui a quitté "un peu trop tard", le Parti Communiste . Si nos renseignements sont exacts, il s'est déclaré en faveur de d'Emmanuel Macron.
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R
Rodier
04/09/2017 18:13
De passage à Vierzon ce dimanche.Le ruisseau du Colombier qui prend sa source pres de la route de Bonegue est 5 sec.De plus il est utilisé comme depotoir.Gravats,dechets de maçonnerie et bouteilles en plastique.Dans le chemin qui relie la route de Bonegue à la rue Georges Fauconnier en passant par le champ du Colombier.
Répondre
R
Rodier
04/09/2017 18:12
De passage à Vierzon ce dimanche.Le ruisseau du Colombier qui prend sa source pres de la route de Bonegue est 5 sec.De plus il est utilisé comme depotoir.Gravats,dechets de maçonnerie et bouteilles en plastique.Dans le chemin qui relie la route de Bonegue à la rue Georges Fauconnier en passant par le champ du Colombier.
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R
Rodier
17/07/2017 22:19
Mea culpa.A vierzon le manque d'ambition il est chez les Vierzonnais qui s'identifient davantage à leur quartier qu'a leur commune.Par exemple si la ville de Saint Denis avait eu un communiste vierzonnais à sa tete,jamais elle n'aurait accueilli le Stade de France.Sur ce coup Patrick Braouezec n'a pas pensé aux intérêts de son parti ou de son idéologie mais à ceux de sa ville et des dyonisiens.Mais avec le temps on parviendra à se comprendre.Voyez St Amand des eaux;Le maire pc a accueilli dans sa ville un casino!Bravo Mr Bocquet!Vous imaginez cela dans la ville de Ste Perpetue?
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R
Rodier
17/07/2017 22:03
Mais c'est un plaisir de débattre avec vous.Vos faits divers me font beaucoup rire.Ne changez rien dans l'ecriture.Mon homonyme c'est mon homonyme et moi c'est moi.
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R
Rodier
17/07/2017 21:56
Par contre je connais la personne avec laquelle vous m'assimilez.Et j'espère que je ne serai pas scandaleusement censuré comme lui a pu l'etre par la presse locale,qui reprend les méthodes de ceux qu'elle critique alors qu'il n'y avait rien d'outrancier dans ses courriers.Je découvre Vierzonitude er c'est avec plaisir que j'apporterai mes contributions en matiere de botanique,d'apiculture,d'ecopaturage et meme de nucleaire.Le problème de Vierzon est surtout d'avoir les elus qu'elle merite.Du petit niveau à gauche comme au centre.Du petit bras dénué de toute ambition.
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V
vierzonitude
17/07/2017 21:59
Votre homonyme ne dirait pas tout cela du communisme...
R
Rodier
17/07/2017 21:45
Je voyage pas mal et je peux comparer plusieurs villes et meme plusieurs gestion communiste.Et je peux effectivement dire que le bilan de 30ans de communisme vierzono berrichon n'ont pas fait que du bien à Vierzon.Mais je pense que le principal obstacle au développement de Vierzon c'est avant tout la mentalité des Vierzonnais,qu'ils soient communistes ou autres.Je reconnais que Vierzon a ete dirigé par des gens qui manquaient d'ambition pour leur ville.Des gens tres conservateurs,ideologues et ouvrieristes.Mais pour le comprendre il faut sortir du contexte vierzonnais.
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R
Rodier
17/07/2017 21:38
Mr Vierzonitude vous vous méprenez.Vous vous trompez de personne.Votre serviteur est né à Vierzon il y a 34 ans et l'a quitté il y a 14 ans.Bien à vous.
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V
vierzonitude
17/07/2017 21:57
Je ne me méprends pas je débats avec vous
T
Tanche moyenne
17/07/2017 20:42
Quand on voit ce que l'on voit, quand on sait ce que l'on sait et que l'on entend ce que l'on entend...et bien on a bien raison de penser ce que l'on pense, de dire ce que l'on dit et de faire ce que l'on fait !
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R
Rodier
17/07/2017 20:12
18 ans.je parle du socialiste Jean Rousseau.
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V
vierzonitude
17/07/2017 21:16
Ah l'opposant se reveille. Remarquez trente ans de communisme n'ont guère fait plus de bien !
R
Rodier
17/07/2017 19:30
Il parait que a8 ans durant Vierzon a eu un maire écologiste.Il parait que des écologistes siègent au conseil municipal de Vierzon.Ca ne se voit pas très bien.Avec leur culture du laxisme ces gens ne servent à rien.Par contre pour descendre en règle notre filière nucléaire qui nous donne en abondance l'électricité la moins émettrice de gaz à effet de serre là on les entend.
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D
Dgust
17/07/2017 18:59
A lire ce prospectus de la communauté de communes , on dirait des profs qui donnent des lignes et font la morale à des gamins!!.<br /> <br /> Cela ne servira à rien,pour faire avancer les choses, car à ce stade actuel, se n'est plus de l'incivilité qui peuvent leurs coûter entre 150 à 1500 euros à ces crétins , mais bien de faire sanctionner haut et fort au pénal pour pollution volontaire , dégradation , et mise en danger d'autrui (santé).<br /> <br /> Il serait temps de trouver les solutions pour les attraper(caméras, rondes citoyens etc.) et faire punir durablement au pénal (argent voir prison suivant la pollution), ces gros dégueulasses qui empoisonnent les autres Vierzonnais respectueux .<br /> <br /> La communauté doit également prendre ces dispositions pour faire rentrer les conteneurs de leurs propriétaires rapidement , dès la fin des passages car les trottoirs en sont envahis en ville et peuvent devenir des objets dangereux (feux, obstacles routiers etc.) voyez en ce moment se qui se passe sur Bourges!!.<br /> <br /> Ces conteneurs possèdent un numéro d' identifiant, alors que fait elle pour réagir à ce problème de laxisme de certains ,afin de trouver les solutions concrètes, pour tous??.
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H
H.G.
27/03/2017 19:54
Ceci est une alerte dépôts d'ordures sauvages ! Sur le chemin du Colombier (partie en terre), un tas de cartons remplis de déchets. Prévenez la communauté de communes de Vierzon. Votre mobilisation est essentielle. La propreté de la ville en dépend. (J'ai pris une photo mais je ne sais pas comment la placer sur ce site sans m'inscrire.)
Répondre
H
H.G.
27/03/2017 22:01
Photos envoyées.
V
vierzonitude
27/03/2017 20:45
vierzonattitude@gmail.com

Vierzon-sur-Mer

Le phare de l'île Saint-Esprit enfonce son regard oblique dans le ciel rond. L'estran met l'île Marie à portée de terre. Le temps d'une marée basse, elle s'attache au continent dans le ronronnement doux de la mer qui revient. De là où s'effrite le sable, Vierzon jette ses dernières lumières dans la bataille de la nuit. Au petit jour, le Bistrot du port déversera ses cales de croissants tièdes sur les habitués de la Renverse, le bateau du père Seb, le premier à sortir, le dernier à rentrer. Le zinc tanné par les manches des cirés jaunes bavarde ses silences imposés : parfois, dans le bistrot salé, il faut faire place au silence pour mieux veiller aux récits. Le café se remplit chaque heure d'une houle synthétique, fait d'humains en partance, en revenance, entre deux horaires. Il y a la crème des commerçants, le dessus du panier des marins-pêcheurs, la haute société retraitée qui confond les larmes et les embruns, pour ce qu'elles ont de souvenirs iodés à retenir dans les filets. Plus loin, près de la capitainerie, la butte de Sion jette un regard circulaire sur l'ensemble de la ville. Elle ressemble, en ce matin d'été, à l'idéal que l'on se fait du bonheur transversal : entre l'impression d'être ancrée ici tout en étant ailleurs. C'est sûr que la mer aimante ce qu'elle touche. C'est sûr que la mer déverse, sur le sillon des fins reliefs, la preuve que sans elle, Vierzon ne serait pas Vierzon. Le marché fourmille, sur les places centrales. Le soleil, déjà chaud, est à marée haute. Une trace de vent raye l'air lourd à porter. Les bistrots sont accoudés à la curiosité de la foule : c'est étonnant comme les terrasses s'étalent, comme elles semblent animées de l'électricité marine qui, une fois coupée, c'est sûr, rend la mer plate comme une rue piétonne. L'étrange idée qu'on se fait d'être ici n'est rien à côté de cette formidable idée d'y être née. La mer a son industrie propre et son économie personnelle. Vierzon sans la mer aurait ressemblé à ces villes moyennes punaisées au centre de la France sans qu'aucun grain de sable ne déborde de son destin. C'est étonnant d'être d'un continent tout en étant relié à la mer, cette faculté d'être à la fois le solide et le liquide, de défier les loirs de la transparence. J'allonge un pas décidé vers les rues que je préfère, les deux-trois cafés où sont sanglés les derniers secrets du jour et qui m'attendent, comme autant de valises à emporter. Plus on s'éloigne du port, dans le ventre de la ville, plus la ville durcit son statut de ville. Plus on s'enfonce dans la terre, plus la terre vous admet. Entre les rives et la tonitruante cité de l'arrière-ville, deux mondes s'affrontes. Ils étaient quatre jadis, quand la ville éclatée en quatre entités distinctes, se disputaient son destin. Quand plus tard, par raison, la ville a noué ses quatre communes indépendantes, chacune d'entre elles a gardé sa ligne d'eau, ses aspects, son nom, sa façon d'être. Etre de Vierzon ne signifie pas être à Vierzon, mais des Forges, de Villages, de Ville ou de Bourgneuf. Les quatre quartiers bruissent pourtant des vagues qui reviennent, je les entends galoper, pour remettre à niveau, la mer avec la terre. Pour remettre l'île Marie dans sa façon d'être une île. Je suis à la terrasse du café « T'as voulu voir... » Brel y a laissé une dédicace amoureuse. Si Vierzon avait la mer, serait-ce encore Vierzon ou une façon d'être Vierzon ?

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