En 2016, Vierzonitude expliquait que "Vierzon fait partie de ces villes mortes ou du moins qui le deviennent petit à petit. Cette ville accuse vingt ans de retard. Pour des raisons que Vierzonitude ne cessent de développer. Si aujourd'hui, on assiste de la part de la majorité, à un grand raout urbanistique à venir qui coïncide étrangement avec le lancement d'une future campagne des législatives, la ville n'est pas sauvée pour autant."
Nous parlions alors de l'aménagement de ce qu'on appelait l'îlot Rollinat, devenu la place Jacques Brel. Nous avions titré "Le projet de l'îlot Rollinat ne sauvera pas, seul, le centre-ville de Vierzon. Le projet de l'îlot Rollinat est un dangereux trompe-l'œil, nécessaire évidemment, Vierzonitude l'a dit, mais un trompe l'œil car il va phagocyter toutes les énergies financières au détriment d'autres parties du centre-ville qui en ont besoin : la rue Joffre, la place Foch, l'avenue de la République entre autres." Et nous avions raison !
"Il faut que la rénovation du centre-ville se fasse sur plusieurs fronts. Un seul ne suffit pas car la dégradation s'accélère."