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Vierzonitude

Le blog que personne ne lit... mais dont tout le monde parle


Et un, deux, trois, quatre cinq, le gymnase Henri-Sellier vandalisé pour la cinquième fois !

Publié par vierzonitude sur 14 Septembre 2017, 18:15pm

Risible ou pathétique ? Le gymnase Henri-Sellier vient d'être vandalisé pour la cinquième fois. Sans commentaire.

Et un, deux, trois, quatre cinq, le gymnase Henri-Sellier vandalisé pour la cinquième fois !
Et un, deux, trois, quatre cinq, le gymnase Henri-Sellier vandalisé pour la cinquième fois !

Et de quatre ! C'est la quatrième fois en très peu de temps que le gymnase Henri-Sellier est vandalisé. Cette fois-ci, les visiteurs indésirables ont cassé la paroi, de l'extérieur qui donne dans les toilettes, pour rentrer et donc en cassant tout, dans la nuit de dimanche à lundi. Les boutons de l'alarme incendie ont été percutés. Mais, rien n'a été volé, on évolue. Remarquez, ne faudrait-il pas laisser le gymnase désormais ouvert aux quatre vents. Ce serait moins coûteux en paroi, porte et serrure brisée, non ?

 

Et un, deux, trois, quatre cinq, le gymnase Henri-Sellier vandalisé pour la cinquième fois !

Re-re-vandalisme au gymnase Henri-Sellier. Troisième acte de vandalisme au gymnase Henri Sellier, dans la nuit du dimanche 28 au lundi 29 août avec le même mode opératoire que les deux fois précédentes. Une fois encore, le président du Cajo Basket, Thibaut Le Mouel est furieux : "Ils ont dégeulassé le terrain du gymnase que l'on a dû nettoyer et ils ont cassé une paroi de l'extérieur pour rentrer (il faut quand même y aller pour péter le truc)."

Et un, deux, trois, quatre cinq, le gymnase Henri-Sellier vandalisé pour la cinquième fois !

Ils ont enlevés le panneau qui avait été posé après les 1ere degrad

Nouvelle intrusion au gymnase Henri-Sellier en deux jours. Les intrus ont devalisé tout se qui était destiné aux petits (les goûters, les boissons etc...) et ils sont passés par le même endroit que la première fois. Ils ont retiré le panneau qui avait été posé après les premières degradations (lire ci-dessous). 

Et un, deux, trois, quatre cinq, le gymnase Henri-Sellier vandalisé pour la cinquième fois !
Et un, deux, trois, quatre cinq, le gymnase Henri-Sellier vandalisé pour la cinquième fois !
Actes de vandalisme au gymnase Sellier - Vierzonitude

Actes de vandalisme au gymnase Sellier - Vierzonitude

On a reçu ça : Dans la nuit du 24 au 25 juillet 2017, le gymnase Henri Sellier de Vierzon a fait l'objet d'acte de vandalisme grave avec effraction ainsi que l'incendie de conteneurs à poubelle ...

http://www.vierzonitude.fr/2017/07/actes-de-vandalisme-au-gymnase-sellier.html

Le président du Cajo Basket s'indigne des actes de vandalisme - Vierzonitude

Le président du Cajo Basket s'indigne des actes de vandalisme - Vierzonitude

Actes de vandalismes de la nuit du 24 au 25 juillet 2017 Gymnase Henri SELLIER de Vierzon Dans la nuit du 24 au 25 juillet 2017 le gymnase Henri SELLIER de Vierzon (lieu d'entrainement du CAJO ...

http://www.vierzonitude.fr/2017/07/le-president-du-cajo-basket-s-indigne-des-actes-de-vandalisme.html

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F
Fifi Loulou
15/09/2017 09:18
Concernant la police municipale, du temps où j'habitais Vierzon, j'avais des voisins qui se mettaient sur le trottoir à côté de l'immeuble, donc impossible de passer, fallait aller sur la route...<br /> <br /> T'appelles la PM, ça vient pas, un jour ça passe dans le quartier, toutes les voitures garées comme des porcs sur le trottoir, aucune amende...<br /> <br /> Vierzon, c'est chelou, niveau respect des lois françaises que ce soit pour les forces de l'ordre qui refusent de faire leur job en acceptant les plaintes, et les politiciens qui jouent à l'autruche.
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L
Limo
15/09/2017 07:43
Peut etre vaut il mieux arreter ce decompte en ligne, qui pourrait les inciter...
Répondre
F
Fifi Loulou
14/09/2017 20:35
Il fout quoi ce maire à Vierzon ? La Police ? Ou autre ?<br /> <br /> 4 fois quand même faut le faire, oops, 5 fois... Et les voleurs toujours pas arrêtés ?<br /> <br /> Le monde des bisounours...
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N
N'importe quoi
14/09/2017 20:25
Dans cette ville, nous n'avons pas les mêmes priorités pour lutter contre la délinquance. Exemple édifiant ce soir encore, pour la police municipale qui préfère s'attaquer à d'honnêtes citoyens stationnant 2 minutes sur les places taxis inoccupées de la gare (sans gêner aucunement la circulation) plutôt que se confronter aux dealers et poivrots du centre-ville. Nous sommes donc bien dans une dimension parallèle à Vierzon...
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R
Rodier
12/09/2017 17:24
Apres bulldozer des grues viendront ériger un édifice religieux avec 4 tours et un dôme recouvert de feuilles d'or.Officiellement ça s'appellera un centre culturel.
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M
ML
14/09/2017 19:47
c'est p'tet un peu court comme raisonnement !
L
LoL
12/09/2017 17:00
N'ayez crainte Vierzonnais, notre maire va bientôt se réveiller et venir avec son jouet préféré,le bulldozer pour régler le problème.Par la même occasion,il va venir tirer les oreilles aux petits chenapans et les gronder!! . <br /> Et vous verrez , tous sera réglé , enfin pour lui dans cette affaire!!. Affaire suivante.......
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R
Rodier
01/09/2017 11:44
Merci madame Andree pour votre precision.Mes hommages.
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A
Andrée
31/08/2017 13:52
Pour répondre à M.Rodier : oui le gymnase était ouvert aux scolaires ( au moins ceux de l'école de Puits Berteau) Mais c'était à une époque où tout le monde faisait du sport : filles, garçons, musulmans, chrétiens, bouddhistes. Il y avait une vraie mixité
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J
JIM
29/08/2017 18:02
vous pariez combien que les élus vont plus vite se "révolter" et faire la morale aux petits jeunes qui détruisent le matériel de leurs petits frères et soeurs.... et ne diront toujours rien sur ce qui se passe pour d'autres personnes fragiles... et qu'ont-ils réparé, installé, mis en place depuis juillet ?
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I
il
29/08/2017 17:10
faudrait avoir la liste des destructions et autres delinquances quotidiennes ... ce serait très éloquent!
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R
Rodier
29/08/2017 12:47
Le stade Robert Barran et Brouhot sont dotés d'un logement de fonction habité par un gardien.Coco ment se fait il que le gymnase Henri Sellier n'en ai jamais été doté?Les elus de l'epoque etaient ils naifs au point de croire que ce sont les voisins de la teci qui veilleraient sur ce bel équipement?Ce gymnase je le rappelle a longtemps été partagé par 2 clubs de baskets et les sapeurs pompiers.Et peut être meme par les scolaires mais à vérifier.C'etait un équipement moderne avec gradins parquet tableau d'affichage électronique et bien situé en terme de commerce et de transports.Mais quel avenir aujourd'hui pour un tel équipement dans un tel quartier ou le sport,la mixité hommes femmes et l'ouverture vers l'extérieur derangent?Le sport doit vivre à Vierzon!Vive le sport!A bas le vandalisme et le communautarisme.
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R
Rodier
26/07/2017 20:33
Vive le sport!Allez Vierzon!
Répondre
R
Rodier
26/07/2017 20:33
Je ne trouve pas les mots.Jusqu'en 1992 2 clubs de baskets cohabitaient et se partagaient le gymnase. Puis l'USV a ete priée de s'exiler au gymnase Fernand Léger.Si ca continue le CAJO devra à son tour migrer dans une autre salle.Nos politiques nous ont fait miroiter qu'en rasant les barres et en relogeant les gens en maison individuelle il y aurait moins de délinquance.Il n'y en a jamais autant eu.Mais continuons de donner de la confiture aux cochons et quand le gymnase aura été réduit en cendre,il y aura un bel espace pour.............Tienez!Et pourquoi pas un édifice religieux?
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Vierzon-sur-Mer

Le phare de l'île Saint-Esprit enfonce son regard oblique dans le ciel rond. L'estran met l'île Marie à portée de terre. Le temps d'une marée basse, elle s'attache au continent dans le ronronnement doux de la mer qui revient. De là où s'effrite le sable, Vierzon jette ses dernières lumières dans la bataille de la nuit. Au petit jour, le Bistrot du port déversera ses cales de croissants tièdes sur les habitués de la Renverse, le bateau du père Seb, le premier à sortir, le dernier à rentrer. Le zinc tanné par les manches des cirés jaunes bavarde ses silences imposés : parfois, dans le bistrot salé, il faut faire place au silence pour mieux veiller aux récits. Le café se remplit chaque heure d'une houle synthétique, fait d'humains en partance, en revenance, entre deux horaires. Il y a la crème des commerçants, le dessus du panier des marins-pêcheurs, la haute société retraitée qui confond les larmes et les embruns, pour ce qu'elles ont de souvenirs iodés à retenir dans les filets. Plus loin, près de la capitainerie, la butte de Sion jette un regard circulaire sur l'ensemble de la ville. Elle ressemble, en ce matin d'été, à l'idéal que l'on se fait du bonheur transversal : entre l'impression d'être ancrée ici tout en étant ailleurs. C'est sûr que la mer aimante ce qu'elle touche. C'est sûr que la mer déverse, sur le sillon des fins reliefs, la preuve que sans elle, Vierzon ne serait pas Vierzon. Le marché fourmille, sur les places centrales. Le soleil, déjà chaud, est à marée haute. Une trace de vent raye l'air lourd à porter. Les bistrots sont accoudés à la curiosité de la foule : c'est étonnant comme les terrasses s'étalent, comme elles semblent animées de l'électricité marine qui, une fois coupée, c'est sûr, rend la mer plate comme une rue piétonne. L'étrange idée qu'on se fait d'être ici n'est rien à côté de cette formidable idée d'y être née. La mer a son industrie propre et son économie personnelle. Vierzon sans la mer aurait ressemblé à ces villes moyennes punaisées au centre de la France sans qu'aucun grain de sable ne déborde de son destin. C'est étonnant d'être d'un continent tout en étant relié à la mer, cette faculté d'être à la fois le solide et le liquide, de défier les loirs de la transparence. J'allonge un pas décidé vers les rues que je préfère, les deux-trois cafés où sont sanglés les derniers secrets du jour et qui m'attendent, comme autant de valises à emporter. Plus on s'éloigne du port, dans le ventre de la ville, plus la ville durcit son statut de ville. Plus on s'enfonce dans la terre, plus la terre vous admet. Entre les rives et la tonitruante cité de l'arrière-ville, deux mondes s'affrontes. Ils étaient quatre jadis, quand la ville éclatée en quatre entités distinctes, se disputaient son destin. Quand plus tard, par raison, la ville a noué ses quatre communes indépendantes, chacune d'entre elles a gardé sa ligne d'eau, ses aspects, son nom, sa façon d'être. Etre de Vierzon ne signifie pas être à Vierzon, mais des Forges, de Villages, de Ville ou de Bourgneuf. Les quatre quartiers bruissent pourtant des vagues qui reviennent, je les entends galoper, pour remettre à niveau, la mer avec la terre. Pour remettre l'île Marie dans sa façon d'être une île. Je suis à la terrasse du café « T'as voulu voir... » Brel y a laissé une dédicace amoureuse. Si Vierzon avait la mer, serait-ce encore Vierzon ou une façon d'être Vierzon ?

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