Les photos du concert du 17 novembre 1990, sous chapiteau, place du Champanet.
17 novembre 1990 : Johnny Hallyday est à Vierzon, ici, avec Jean Rouseau (à gauche) alors maire de la ville et Jean-Bernard Mourens, maire-adjoint à la culture.
Johnny Hallyday avec Jean Rousseau alors maire de Vierzon.
Philippe Didier : et voici le billet n° 1 du concert toujours dans mon portefeuille !!!!!
Carol Bour-Moreira Oui je me souviens très bien de sa venue. ....inoubliable quoi à vierzon. ...énorme....
Arnaud Bernard J'y étais ! Ma mère doit encore avoir les photos quelque part dans un placard...
Emanuelle Hoffmann Moi .... A 10 ans, j'y étais déjà.
Nathalie Rivas J'ai conservé cette place en souvenir. Il avait mis le feu!
Richard Berthon Avec deux copains, n’ayant pas réussi à rentrer (frauduleusement) sous le chapiteau, on s’était fait enrôler pour vendre les posters à la sortie... et le souvenir de spectateurs ronchons et peu enthousiastes à la fin... ensuite n’ayant pas vécu personnellement les deux ou trois anecdotes rapportées par des très proches dans les coulisses sur son après-midi à « Le Sologne » et sur sa montée sur scène, je les garderai pour moi...
Tilo Renaultrobin Pas vu le concert mais dehors à écouter et attendu jusqu'à 2h du mat qu il quitte version. Par contre vu 2 fois à Bourges dont un avec Eddie au Printemps.
Valérie Rousseau-Hoareau J’y étais et je l’ai rencontré avec Jean Rousseau (NDLR maire de Vierzon en 1990)
Dans la presse du 7 décembre 2017, Jean Rousseau, ex-maire de Vierzon, se souvient de ce concert du 17 novembre 1990, suivi par 5.000 personnes, sous chapiteau, place du Champanet (actuelle place du cirque National Amédée).
Jean Rousseau se souvient d’abord « d’un artiste très entouré et d’une venue très encadrée. C’était très professionnel ».
« Je venais d’être élu maire et c’était l’une des premières initiatives de notre municipalité. C’était une affaire en or de faire
venir Johnny à l’époque. »
« On a rencontré de nombreuses difficultés concernant la sécurité, le matériel. Ce n’était pas simple à gérer, mais on y est arrivé. »
« Jean Marais et Madeleine Sologne étaient assis au premier rang. Ils étaient incommodés par le son, qui était très fort, et juste devant des fans en folie »
« Il n’y avait pas d’improvisation, c’était très carré mais c’était de la folie.»
« Les gens ne parlaient plus que de ça une semaine avant, c’était impressionnant.»
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