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Vierzonitude

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Le château de feu Olivier Giscard d'Estaing toujours à vendre

Publié par vierzonitude sur 21 Mai 2024, 17:05pm

Le château de feu Olivier Giscard d'Estaing toujours à vendre

Le château de feu Olivier Giscard d'Estaing, le frère de l'Ex-président de la république, est à vendre. Juché sur les hauteurs de Chaillot, le château comporte douze pièces sur une surface de 300 mètres carrés. Il était à vendre plus d'un million d'euros, il est passé sous la barre du million...

Vente château 12 pièces 300 m² à Vierzon (18100), 990 000 €

Vente château 12 pièces 300 m² à Vierzon (18100), 990 000 €

Ref.3890 : Château à vendre dans le département du Cher. Ce beau château, niché sur les hauteurs de la vallée du Cher, est situé à la frontière de la Sologne et du Berry aux portes de la v...

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Description du château 12 pièces 300 m²

Ref.3890 : Château à vendre dans le département du Cher. Ce beau château, niché sur les hauteurs de la vallée du Cher, est situé à la frontière de la Sologne et du Berry aux portes de la ville de Vierzon. Il bénéficie de facto de toutes les infrastructures économiques et commerciales de la ville ainsi que de son importante desserte aussi bien routière que ferroviaire. Vierzon, ville de plus de 25 000 âmes, est située dans le département du Cher et jouxte une forêt domaniale de près de 5 000 hectares. Sa position de carrefour tant routier (A20, A71 et A85) que ferroviaire (ligne Paris-Orléans-Limoges-Toulouse qui croise la transversale Nantes-Tours-Lyon) en fait un nœud de communication, ainsi qu'une ville passante. Le train et la route mettent la commune respectivement à 1h35 min et à 3 h de Paris. Vierzon est aussi dotée d’une importante palette de services avec divers équipements culturels, scolaires, sportifs et de santé. Le château de style Renaissance, daté du XVIe siècle et remanié au XVIIIe siècle, est orienté Est/Ouest et comprend une surface habitable d’environ 100 m² par niveau. Il se distribue ainsi : Au rez-de-chaussée : une salle à manger traversante qui dessert, à droite la cuisine avec un cellier dans la tour, et à gauche un salon lui aussi traversant. Dans la continuité se trouve un bureau. Au premier étage : un couloir qui dessert 4 chambres dont l’une avec un cabinet de toilette, 2 salles de bains ou de douche et wc dans la tour. Au second étage : diverses chambres à réhabiliter.  Les dépendances comprennent : Une maison d’amis d’environ 160 m² avec au rez-de-chaussée : séjour, salle à manger/cuisine et à l’étage 3 chambres et deux salles de bains. Le chauffage est électrique. Cette maison a fait l’objet d’une importante restauration il y a quelques années. Une maison de gardien restaurée dans les années 2000 . Un corps de ferme comprenant une ancienne maison d’habitation aujourd’hui à usage de remises et une grange à usage de bucher et de garage. Une piscine et un ancien tennis. Aujourd'hui très discret, le château est masqué par de grands arbres, pour certains séculaires, qui le préservent du voisinage et lui offrent un environnement verdoyant et intime. On y accède par une petite allée qui donne sur la cour. Un parc à l’anglaise, entouré d’une belle forêt et délimité par le Cher, vient compléter l’ensemble qui s’étend sur près de 11 hectares. Nous vous invitons à consulter notre site internet Cabinet Le Nail ( www.cabinetlenail.com ) pour parcourir nos dernières annonces ou en savoir plus sur ce bien.

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C
Cincinnatus
21/05/2024 18:23
A tout hasard, quel est le montant de la taxe foncière ? Vu l'écart entre Vierzon et les villages aux alentours, le site risque de devenir la proie des urbexeurs, pire encore : des vandales...
Répondre
L
le berruyais
10/01/2024 18:27
Mais qui voudrait s;aventurer à Vierzon dont le nom fait peur dans la France entière!
Répondre
L
Lusor
06/11/2023 09:07
Les élus de droite comme de gauche qui cumulent 50 ans de mandats et les retraites qui vont avec devraient pouvoir se l'offrir sans trop de difficultés.
Répondre
L
Le Vierzonnais
30/10/2023 11:51
Punaise, il va falloir que la veuve paie la taxe sur les logements vacants. Ou alors louer à des cas sociaux comme on sait si bien les attirer à Vierzon. Quelle décadence !
Répondre
J
Jules
04/06/2023 18:51
En plus avec les poids lourds qui passent en toute impunité l'avenue de Chaillot puis l'avenue de Tassigny....dès le petit matin à 4h00....effectivement .....comment estimer le <br /> prix de l'immobilier dans certaines rue de Vierzon impactées par cette circulation illégale....
Répondre
O
Oui
05/08/2022 08:53
Attention, la municipalité Nupes risque de le racheter pour le démolir afin d'effacer un symbole du giscardisme !!!
Répondre
L
Le Vierzonnais
01/11/2023 09:37
Marie Charlotte, ce que vous n'est pas faux mais le PC fait parti de la nupes. Et dans la nupes, il n'y a aucun insoumis, sinon une motion de censure aurait déjà fait tomber le gouvernement. Ils sont soumis à leur salaire pour ne pas remettre leur mandat en cause. De plus soumis à l'islamo-gauchisme. Pour résumer, une insoumission de salon. Cdt.
M
Marie Charlotte
31/10/2023 13:13
Non cette municipalité est avant tout une municipalité communiste dirigée par Sansu-Ollivier. Les autres sont soumis et non insoumis.
L
Le vierzonnais
04/06/2023 10:17
Si Vierzon était une vitrine et que les impôts étaient cohérents, ce bien serait déjà vendu depuis longtemps.

Vierzon-sur-Mer

Le phare de l'île Saint-Esprit enfonce son regard oblique dans le ciel rond. L'estran met l'île Marie à portée de terre. Le temps d'une marée basse, elle s'attache au continent dans le ronronnement doux de la mer qui revient. De là où s'effrite le sable, Vierzon jette ses dernières lumières dans la bataille de la nuit. Au petit jour, le Bistrot du port déversera ses cales de croissants tièdes sur les habitués de la Renverse, le bateau du père Seb, le premier à sortir, le dernier à rentrer. Le zinc tanné par les manches des cirés jaunes bavarde ses silences imposés : parfois, dans le bistrot salé, il faut faire place au silence pour mieux veiller aux récits. Le café se remplit chaque heure d'une houle synthétique, fait d'humains en partance, en revenance, entre deux horaires. Il y a la crème des commerçants, le dessus du panier des marins-pêcheurs, la haute société retraitée qui confond les larmes et les embruns, pour ce qu'elles ont de souvenirs iodés à retenir dans les filets. Plus loin, près de la capitainerie, la butte de Sion jette un regard circulaire sur l'ensemble de la ville. Elle ressemble, en ce matin d'été, à l'idéal que l'on se fait du bonheur transversal : entre l'impression d'être ancrée ici tout en étant ailleurs. C'est sûr que la mer aimante ce qu'elle touche. C'est sûr que la mer déverse, sur le sillon des fins reliefs, la preuve que sans elle, Vierzon ne serait pas Vierzon. Le marché fourmille, sur les places centrales. Le soleil, déjà chaud, est à marée haute. Une trace de vent raye l'air lourd à porter. Les bistrots sont accoudés à la curiosité de la foule : c'est étonnant comme les terrasses s'étalent, comme elles semblent animées de l'électricité marine qui, une fois coupée, c'est sûr, rend la mer plate comme une rue piétonne. L'étrange idée qu'on se fait d'être ici n'est rien à côté de cette formidable idée d'y être née. La mer a son industrie propre et son économie personnelle. Vierzon sans la mer aurait ressemblé à ces villes moyennes punaisées au centre de la France sans qu'aucun grain de sable ne déborde de son destin. C'est étonnant d'être d'un continent tout en étant relié à la mer, cette faculté d'être à la fois le solide et le liquide, de défier les loirs de la transparence. J'allonge un pas décidé vers les rues que je préfère, les deux-trois cafés où sont sanglés les derniers secrets du jour et qui m'attendent, comme autant de valises à emporter. Plus on s'éloigne du port, dans le ventre de la ville, plus la ville durcit son statut de ville. Plus on s'enfonce dans la terre, plus la terre vous admet. Entre les rives et la tonitruante cité de l'arrière-ville, deux mondes s'affrontes. Ils étaient quatre jadis, quand la ville éclatée en quatre entités distinctes, se disputaient son destin. Quand plus tard, par raison, la ville a noué ses quatre communes indépendantes, chacune d'entre elles a gardé sa ligne d'eau, ses aspects, son nom, sa façon d'être. Etre de Vierzon ne signifie pas être à Vierzon, mais des Forges, de Villages, de Ville ou de Bourgneuf. Les quatre quartiers bruissent pourtant des vagues qui reviennent, je les entends galoper, pour remettre à niveau, la mer avec la terre. Pour remettre l'île Marie dans sa façon d'être une île. Je suis à la terrasse du café « T'as voulu voir... » Brel y a laissé une dédicace amoureuse. Si Vierzon avait la mer, serait-ce encore Vierzon ou une façon d'être Vierzon ?

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