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Vierzonitude

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Le Père Cent du lycée Henri Brisson, c'est ce jeudi !

Publié par vierzonitude sur 9 Mars 2022, 14:26pm

Le Père Cent du lycée Henri Brisson, c'est ce jeudi !
Le Père Cent du lycée Henri Brisson, c'est ce jeudi !
Le Père Cent du lycée Henri Brisson, c'est ce jeudi !
Le Père Cent du lycée Henri Brisson, c'est ce jeudi !
Le Père Cent du lycée Henri Brisson, c'est ce jeudi !
Le Père Cent du lycée Henri Brisson, c'est ce jeudi !
Le Père Cent du lycée Henri Brisson, c'est ce jeudi !
Le Père Cent du lycée Henri Brisson, c'est ce jeudi !
Le Père Cent du lycée Henri Brisson, c'est ce jeudi !
Le Père Cent du lycée Henri Brisson, c'est ce jeudi !

Voici ce qu'est la decale (DKL), tradition des écoles nationales professionnelles, la DKL également le nom de l'auditorium de Vierzon...

Le Père Cent du lycée Henri Brisson, c'est ce jeudi !

Permettez que l'on se présente / C'est nous les Joyeux Vierz'arts / Une Bande miribolante/ Faite de Joyeux fêtards/ La D.K.L c'est notre idole /Nous l'adorons tous en chœur / Oui tous en chœur !!!/ Nous prenons une ardeur folle / A dékaler quand viendra l'heure/ Ohé ! Les vierz'arts / Voici le départ

Vierzon nous te quittons/ Sans regrets , sans amertume / Ensemble nous chantons /Tes blondes et tes brunes / Chantons, chantons amis /Le lien qui nous uni , c'est la fraternité"

Le Père Cent du lycée Henri Brisson, c'est ce jeudi !
Le Père Cent du lycée Henri Brisson, c'est ce jeudi !
Le Père Cent du lycée Henri Brisson, c'est ce jeudi !

D'un lecteur de Vierzonitude :

"La petite DKL est sur l'air des Allobroges (Vierzon, nous te quittons sans regret, sans amertume, etc.) et la grande DKL est sur l'air de la Galette de Saint-Cyr plus connue aussi avec l'Artilleur de Metz et ses paroles paillardes (ce qui veut dire que Grande DKL, que ton nom rayonne de toute sa gloire puisque aujourd'hui finit l'histoire d'une vaillante promotion, renvoie aussi à Toutes les femmes de Metz se foutent le doigt dans l'con pour préparer l'chemin à l'artilleur rupin qui leur mettra demain sa pine dans le vagin)."

Le Père Cent du lycée Henri Brisson, c'est ce jeudi !
Le Père Cent du lycée Henri Brisson, c'est ce jeudi !
Le Père Cent du lycée Henri Brisson, c'est ce jeudi !
Le Père Cent du lycée Henri Brisson, c'est ce jeudi !
Le Père Cent du lycée Henri Brisson, c'est ce jeudi !
La Décale, le Père-Cent, la Boquette, les monômes, la cannib's

La Décale, le Père-Cent, la Boquette, les monômes, la cannib's

© Fonds C.B DKL Nantes-Armentières 1916 © Fonds C.B La DKL Cette écriture phonétique de la Décale est simplement phonétique et nantaise, et non pas angevine. À la différence de la "devise"...

http://www.livet-histoire.fr/article163.html

Le Père Cent à Vierzon

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Le Père Cent dans les rues de Vierzon
Commenter cet article
L
Le Berruyais
22/02/2022 18:23
Les défilés actuels non rien à voir aux anciens.C'est devenu une joyeuse débandade!!!!
Répondre
B
Bezant
05/04/2015 19:44
Sympa cette renaissance. Bravo et succès aux initiateurs autant pour ce Père-Cent que pour les examens qu'il annonce !
Répondre
U
un autre
09/03/2015 18:43
Ce choix de nom est ridicule pour un auditorium.
Répondre
B
Bezant
13/02/2015 18:32
Dépenser une telle somme dans l'auditorium pour l'appeler finalement DKL est complètement farfelu. Quelle idée folle a donc l'adjoint-proviseur ou proviseur-adjoint lui qui avait été mieux inspiré en initiant les Estivales du Canal (dont la gratuité explique une bonne part du succès) ? C'est Mikrokosmos qui sera chargé de chanter cette chanson de joyeux drilles ? Pffff Ce nom est complètement dé-ca-lé !
Répondre
L
Lusor
13/02/2015 15:55
Merci beaucoup pour cette publication qui démontre que la petite DKL n'était finalement pas spécifique à Vierzon. Je pense que la grande DKL devait se chanter ailleurs aussi mais, de mémoire, ses paroles ne citaient jamais Vierzon ni une autre ville non plus.
Répondre
O
olivier
22/02/2022 20:10
Le fait de chanter la décale est aussi commun aux écoles des Arts et Métiers
V
vierzonitude
13/02/2015 16:04
En fait, la chanson a un tronc commun à toutes les ENP. A chacune de mettre le nom de la ville de leur école.

Vierzon-sur-Mer

Le phare de l'île Saint-Esprit enfonce son regard oblique dans le ciel rond. L'estran met l'île Marie à portée de terre. Le temps d'une marée basse, elle s'attache au continent dans le ronronnement doux de la mer qui revient. De là où s'effrite le sable, Vierzon jette ses dernières lumières dans la bataille de la nuit. Au petit jour, le Bistrot du port déversera ses cales de croissants tièdes sur les habitués de la Renverse, le bateau du père Seb, le premier à sortir, le dernier à rentrer. Le zinc tanné par les manches des cirés jaunes bavarde ses silences imposés : parfois, dans le bistrot salé, il faut faire place au silence pour mieux veiller aux récits. Le café se remplit chaque heure d'une houle synthétique, fait d'humains en partance, en revenance, entre deux horaires. Il y a la crème des commerçants, le dessus du panier des marins-pêcheurs, la haute société retraitée qui confond les larmes et les embruns, pour ce qu'elles ont de souvenirs iodés à retenir dans les filets. Plus loin, près de la capitainerie, la butte de Sion jette un regard circulaire sur l'ensemble de la ville. Elle ressemble, en ce matin d'été, à l'idéal que l'on se fait du bonheur transversal : entre l'impression d'être ancrée ici tout en étant ailleurs. C'est sûr que la mer aimante ce qu'elle touche. C'est sûr que la mer déverse, sur le sillon des fins reliefs, la preuve que sans elle, Vierzon ne serait pas Vierzon. Le marché fourmille, sur les places centrales. Le soleil, déjà chaud, est à marée haute. Une trace de vent raye l'air lourd à porter. Les bistrots sont accoudés à la curiosité de la foule : c'est étonnant comme les terrasses s'étalent, comme elles semblent animées de l'électricité marine qui, une fois coupée, c'est sûr, rend la mer plate comme une rue piétonne. L'étrange idée qu'on se fait d'être ici n'est rien à côté de cette formidable idée d'y être née. La mer a son industrie propre et son économie personnelle. Vierzon sans la mer aurait ressemblé à ces villes moyennes punaisées au centre de la France sans qu'aucun grain de sable ne déborde de son destin. C'est étonnant d'être d'un continent tout en étant relié à la mer, cette faculté d'être à la fois le solide et le liquide, de défier les loirs de la transparence. J'allonge un pas décidé vers les rues que je préfère, les deux-trois cafés où sont sanglés les derniers secrets du jour et qui m'attendent, comme autant de valises à emporter. Plus on s'éloigne du port, dans le ventre de la ville, plus la ville durcit son statut de ville. Plus on s'enfonce dans la terre, plus la terre vous admet. Entre les rives et la tonitruante cité de l'arrière-ville, deux mondes s'affrontes. Ils étaient quatre jadis, quand la ville éclatée en quatre entités distinctes, se disputaient son destin. Quand plus tard, par raison, la ville a noué ses quatre communes indépendantes, chacune d'entre elles a gardé sa ligne d'eau, ses aspects, son nom, sa façon d'être. Etre de Vierzon ne signifie pas être à Vierzon, mais des Forges, de Villages, de Ville ou de Bourgneuf. Les quatre quartiers bruissent pourtant des vagues qui reviennent, je les entends galoper, pour remettre à niveau, la mer avec la terre. Pour remettre l'île Marie dans sa façon d'être une île. Je suis à la terrasse du café « T'as voulu voir... » Brel y a laissé une dédicace amoureuse. Si Vierzon avait la mer, serait-ce encore Vierzon ou une façon d'être Vierzon ?

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