Une lectrice s'est émue de l'état de la maison rue George Sand. jusqu'à quand le massacre ?
En mai dernier, nous vous narrions la tragique histoire de cette maison squattée rue George Sand, prise pour cible par celles et ceux qui n'ont plus la maison en ruines à l'entrée du lycée Edouard-Vaillant, rue Charles Hurvoy, pour satisfaire leur envie de péter un truc ou de fumer en cachette. Un cran au-dessus : la porte du garage a volé en éclats. C'est sympa pour les voisins qui ne savent plus quoi faire. C'est sympa pour les proprios de la maison que l'on détériore sans remords. Qu'est-ce qui arrêtera cette spirale infernale ? Le rachat de la maison par la ville ou le conseil départemental pour en faire un exutoire pour démolisseurs frustrés ? Ou terrain de formation pour démolisseurs en devenir ?
L'entrée du lycée Edouard-Vaillant est une belle réussite, avec la démolition de la maison squattée... Sauf que le problème existe encore, un peu plus loin, rue George Sand. C'est une maison inhabitée depuis 2007 qui est squattée depuis plusieurs années, à deux pas du lycée. Il ne reste rien du portail, les vitres sont cassées, les volets arrachés, la porte d'entrée défoncée, celle du garage également, un garage jonché de détritus qui se retrouvent également dans ce qui reste de jardin. Un endroit carrément propice à quelques échanges de produits illicites. Evidemment, la maison est devenue une plaie pour le voisinage et les propriétaires ne savent plus quoi faire, à part, sans doute, faire murer les entrées. Personne ne s'empresse de la racheter, elle n'est pas, comme celle de la rue Charles Hurvoy, à l'entrée du lycée. Donc, en gros, tout le monde se moque un peu de ce qui s'y passe même si l'adresse est connue des lycéens... Alors que faire, si ce n'est déjà en parler pour essayer de trouver une solution.