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Vierzonitude

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Pas de salariés des Galeries sur le carreau : l'heure des comptes

Publié par vierzonitude sur 3 Février 2021, 13:30pm

Si l'on fait les compte, sur les huit salariés des Galeries quatre ont retrouvé du travail dont deux dans le futur magasin Les Collections qui remplace les Galeries. On apprenait aussi, dans la presse locale, que cinq des ex-salariés aimeraient travailler dans le futur commerce de vêtements qui remplacera les Galeries. Mais sur les cinq, il n'y en a que deux qui pourront le faire. Question : où en est la promesse du maire : "pas de salariés des Galeries sur le carreau". Si on pouvait nous renseigner.

Le futur magasin Les Collections recrute - Vierzonitude

Le futur magasin Les Collections recrute - Vierzonitude

Le futur magasin Les Collections (ex-Galeries) recrute ! Vous avez un profil et/ou une expérience positive dans la vente et le conseil ?Dép osez votre CV et lettre de motivation : par mail ...

http://www.vierzonitude.fr/2021/01/le-futur-magasin-les-collections-recrute.html

En décembre 2019, les Vierzonnais venus, au centre des congrès, à la concertation générale des Assises de la citoyenneté, ont entendu ceci, de la bouche du maire de Vierzon : "pas de salariés sur le carreau". La promesses sera-t-elle tenue ? On l'espère vivement pour les ex-salariés des Galeries.

Pas de salariés des Galeries sur le carreau : l'heure des comptes

En décembre 2019, ceux qui étaient venus, au centre des congrès, à la concertation générale des Assises de la citoyenneté, ont entendu ceci, de la bouche du maire de Vierzon : "pas de salariés sur le carreau". Suivi, formations, le maire l'a assuré, "nous n'allons pas les laisser dans la nature."  Où en est-on aujourd'hui ? On attend la réponse. 

Lors de cette concertation, avant de parler des Galeries, le maire avait évoqué, pour expliquer les difficultés du commerce vierzonnais, "la nouvelle façon de consommer", citant Amazon qui, dans son dépôt orléanais, embauche 1.500 CDD pour gérer les envois de colis pendant les fêtes de Noël. 

Pour le maire, l'Orée de Sologne, "22.000 mètres carrés en périphérie c'est trop. Et on manque pourtant de certains commerces. L'absence d'une grande enseigne de sports est un handicap. C'est une vraie question", a-t-il souligné. Car les Vierzonnais doivent aller à Bourges et ils y restent.

Un Intersport à l'Orée de Sologne ne s'est pas concrétisé. Un Leclerc sports non plus : autorisé en commission départementale d'aménagement commercial, refusé en commission nationale. 

 

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Donc quatre pages pour ne rien dire !
Vierzonitude, média de référence
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B
Berrichon
20/11/2020 16:20
Il est vrai que les 5 anciens salariés ( qui comme il est dit dans l'article du berry aimeraient travailler dans le magasin qui succédera aux nouvelles gallerie) sont plus importants que toutes les autres personnes en recherche d'emploi
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R
Robin
16/12/2019 16:42
Parce que le Fontenoy fermerait ??????
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A
Ano
16/12/2019 15:11
Et les salariés du Fontenoy on en parle ?
Répondre
F
Francisport
15/12/2019 20:45
L'absence d'une grande enseigne de sport<br /> il veut que je coule direct !!!!!!!
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J
J
14/12/2019 10:44
Il l’a dit « personne sur le carreau », c’est fou ce que cela ressemble à une promesse électorale, qui comme toute promesse n’engage que ceux qui l’écoutent. <br /> Il pourra toujours les embaucher aux services municipaux, c’est la seule vrai possibilité qu’il puisse avoir s’il est réélu.<br /> S’il veut réduire le chômage à Vierzon, faudra en embaucher à la municipalité et augmenter fortement les impôts .<br /> On pourrait aussi étendre pôle-emploi dans le B3, avec la maison des jeunes cela fera de l’animation ..
Répondre
T
tenirbon
15/12/2019 21:17
@dc, la france aux français, vierzon aux vierzonnais, ça me rappelle quelque chose, c'est un nouveau concept de préférence communale ??
D
Dc
15/12/2019 11:51
Pas de salariés sur le carreau,c est bien il va les reclasser,mais il y en a quelques un qui ne sont même pas de vierzon.et qui vote encore moins à vierzon.alors on va leur trouver du travail pendant que les vrai vierzonais qui vote pour lui n on pas de boulot.????????

Vierzon-sur-Mer

Le phare de l'île Saint-Esprit enfonce son regard oblique dans le ciel rond. L'estran met l'île Marie à portée de terre. Le temps d'une marée basse, elle s'attache au continent dans le ronronnement doux de la mer qui revient. De là où s'effrite le sable, Vierzon jette ses dernières lumières dans la bataille de la nuit. Au petit jour, le Bistrot du port déversera ses cales de croissants tièdes sur les habitués de la Renverse, le bateau du père Seb, le premier à sortir, le dernier à rentrer. Le zinc tanné par les manches des cirés jaunes bavarde ses silences imposés : parfois, dans le bistrot salé, il faut faire place au silence pour mieux veiller aux récits. Le café se remplit chaque heure d'une houle synthétique, fait d'humains en partance, en revenance, entre deux horaires. Il y a la crème des commerçants, le dessus du panier des marins-pêcheurs, la haute société retraitée qui confond les larmes et les embruns, pour ce qu'elles ont de souvenirs iodés à retenir dans les filets. Plus loin, près de la capitainerie, la butte de Sion jette un regard circulaire sur l'ensemble de la ville. Elle ressemble, en ce matin d'été, à l'idéal que l'on se fait du bonheur transversal : entre l'impression d'être ancrée ici tout en étant ailleurs. C'est sûr que la mer aimante ce qu'elle touche. C'est sûr que la mer déverse, sur le sillon des fins reliefs, la preuve que sans elle, Vierzon ne serait pas Vierzon. Le marché fourmille, sur les places centrales. Le soleil, déjà chaud, est à marée haute. Une trace de vent raye l'air lourd à porter. Les bistrots sont accoudés à la curiosité de la foule : c'est étonnant comme les terrasses s'étalent, comme elles semblent animées de l'électricité marine qui, une fois coupée, c'est sûr, rend la mer plate comme une rue piétonne. L'étrange idée qu'on se fait d'être ici n'est rien à côté de cette formidable idée d'y être née. La mer a son industrie propre et son économie personnelle. Vierzon sans la mer aurait ressemblé à ces villes moyennes punaisées au centre de la France sans qu'aucun grain de sable ne déborde de son destin. C'est étonnant d'être d'un continent tout en étant relié à la mer, cette faculté d'être à la fois le solide et le liquide, de défier les loirs de la transparence. J'allonge un pas décidé vers les rues que je préfère, les deux-trois cafés où sont sanglés les derniers secrets du jour et qui m'attendent, comme autant de valises à emporter. Plus on s'éloigne du port, dans le ventre de la ville, plus la ville durcit son statut de ville. Plus on s'enfonce dans la terre, plus la terre vous admet. Entre les rives et la tonitruante cité de l'arrière-ville, deux mondes s'affrontes. Ils étaient quatre jadis, quand la ville éclatée en quatre entités distinctes, se disputaient son destin. Quand plus tard, par raison, la ville a noué ses quatre communes indépendantes, chacune d'entre elles a gardé sa ligne d'eau, ses aspects, son nom, sa façon d'être. Etre de Vierzon ne signifie pas être à Vierzon, mais des Forges, de Villages, de Ville ou de Bourgneuf. Les quatre quartiers bruissent pourtant des vagues qui reviennent, je les entends galoper, pour remettre à niveau, la mer avec la terre. Pour remettre l'île Marie dans sa façon d'être une île. Je suis à la terrasse du café « T'as voulu voir... » Brel y a laissé une dédicace amoureuse. Si Vierzon avait la mer, serait-ce encore Vierzon ou une façon d'être Vierzon ?

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