Après l'appel lancé par Vierzonitude, Eric et Dominique Pardon, les patrons de Nature House de Vierzon et Romorantin ont accepté que Manuelo puisse exposer ses oeuvres dans leurs magasins. Merci à eux et à suivre !
On l'appellera Manuelo, c'est un Angolais, en France depuis quatre ans et demi. Il réalisait déjà des sculptures en fil de fer à Luanda, la capitale de l’Angola. Pour éviter d’être arrêté, il a dû fuir son pays. Depuis quelque temps, il réalise au Cada, à Vierzon, ces mêmes sculptures qu'un petit groupe de personnes tente de faire connaître, à Vierzon, et surtout tente de faire vendre dans une boutique comme Artisans du monde, par exemple.
L'idée est simple : Vierzonitude lance un appel pour trouver un endroit où Manuelo pourrait exposer et vendre ses sculptures. Inutile de rentrer dans le détail de son existence, mais celle de réfugié n'est pas pavé de rose. Il ne reçoit aucune aide, sans papier et sans titre, il craint à tout moment d'être renvoyé dans son pays. Or comme il se trouvait dans l’opposition politique, alors que son pays était en guerre civile, il a dû fuir, explique un Vierzonnais qui souhaite ardemment que le talent de Manu soit exposé. Pour cela, c'est simple, faites vous connaître et Vierzonitude fera passer le message. vierzonattitude@gmail.com