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Vierzonitude

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Un groupe répertorie les nids de frelons asiatiques dans le Cher

Publié par vierzonitude sur 3 Décembre 2015, 16:00pm

Un groupe répertorie les nids de frelons asiatiques dans le Cher

Un groupe sur Facebook propose de répertorier et de montrer l'emplacement où se situent les nids de frelons asiatiques. Allez jeter un oeil, c'est impressionnant, car il y a des nids à Vierzon. Il y a des photos vraiment singulières.

Ce groupe consiste à répertorier et classifier les nids de frelons Asiatiques de la région Centre dans le Cher (18) , en partant du point central "ville de Bourges" et tout ses alentours jusque dans les campagnes et forets ...
Mon but est de comprendre le biotope du Vespa-Velutina dans l'espoir de ralentir sa progression et d'en éliminer le plus possible via des techniques écologiques qui respectent l'environnement.
A SAVOIR : la dose de venin injectée par ce frelon d'Asie est plus importante que celle d’une guêpe, abeille, frelon commun, bourdon ..., et surtout plus profonde et donc plus douloureuse. Les effets qui s’en suivent sont aussi plus importants. En cas d’allergie, une seule piqûre mal placée (gorge, bouche et tête) peut entraîner un œdème de Quincke et la mort si un traitement spécifique n’est pas mis en œuvre très rapidement.
En cas de piqûres multiples (très fréquent) chez un non allergique , il y a un risque de trouble très important, car le venin est neurotoxique et cardiotoxique, donc une grande possibilité de (choc anaphylactique et mort).
Ce groupe à pour mission de donner de nombreuse solution pour lutter contre l'invasion, mais aussi pour lutter contre les piqures et tout autres attaques de cet insecte invasif !
Des solutions simples qui peuvent largement sauver des vies !

Novembre 2015 / Vierzon / Nid de frelon d'Asie. | Facebook

https://www.facebook.com/media/set/?set=oa.724546311008945&type=1

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C
chat noir
04/12/2015 11:45
Oui je confirme, il y a un gros nids de frelons asiatique énorme à Vierzon. Ils viendraient de chine, ils volent notre miel et nous tue à petits feu, surtout les travailleurs et travailleuses et attaquent inlassablement les défenseurs de la ville. On les reconnaît facilement ils sont très gros, font beaucoup de bruit dans leurs déplacements et on une dominante générale rouge. Ils sont très méchants, mais aussi très peureux, et sentent le danger arriver de très très loin. <br /> <br /> Leurs piqûres sont très dangereuses, dès que l'on s'approche d'un peu trop près d'eux. Attention ils peuvent nous contaminer et nous attaquer le cerveau de manière irrémédiable. Beaucoup d'entre nous ont déjà été piqué en centre ville par ces insectes d'ailleurs on peut en voir le résultat tout les jours en centre ville . Ils peuvent faire des dégâts très important, par exemple:<br /> ils ont réussi à bouché une rivière en plein centre ville. <br /> fait fuir des milliers d'habitants et commerçants. <br /> Installé un jeu débile à la case... <br /> <br /> Chose très étrange, c'est que ces bestioles ont été installés là, visiblement par des Vierzonais eu même, et certains me disent mêmes, qu'ils sont prêt à vouloir, "mettre une nouvelle colonie dans la région" dans les prochains jours. Je sais c'est incompréhensible et à peine croyable , mais ce que je vous dit est la vérité. <br /> <br /> Nous pouvons nous débarrasser de ces frelons chinois en nous mettant tous ensemble pour les éradiquer. Ah oui j'oubliais, j'ai localisé très précisément leurs nids énorme, et en cadeau je vous livre cet endroit, c'est à la mairie de vierzon. <br /> Ps: d'autres frelons asiatique sont prêt à rentrer dans la ville quant ceux là seront parti, des bleus, des rose, des bruns, des blancs,... Faisons leurs barrage c'est vital pour nous tous. J'espère
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P
peut -être
04/12/2015 01:08
daech est prêt à nous tuer... leurs vidéos sur internet ... juste en découvrir une ou deux ... suffit pour comprendre qu'ils sont totalement fous et sans aucune conscience , prêts à tuer sans fin ... <br /> et même dans la vie presque paisible... même les insectes viennent nous menacer... <br /> l'homme ne demande -t-il pas simplement un peu de paix ...?
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Vierzon-sur-Mer

Le phare de l'île Saint-Esprit enfonce son regard oblique dans le ciel rond. L'estran met l'île Marie à portée de terre. Le temps d'une marée basse, elle s'attache au continent dans le ronronnement doux de la mer qui revient. De là où s'effrite le sable, Vierzon jette ses dernières lumières dans la bataille de la nuit. Au petit jour, le Bistrot du port déversera ses cales de croissants tièdes sur les habitués de la Renverse, le bateau du père Seb, le premier à sortir, le dernier à rentrer. Le zinc tanné par les manches des cirés jaunes bavarde ses silences imposés : parfois, dans le bistrot salé, il faut faire place au silence pour mieux veiller aux récits. Le café se remplit chaque heure d'une houle synthétique, fait d'humains en partance, en revenance, entre deux horaires. Il y a la crème des commerçants, le dessus du panier des marins-pêcheurs, la haute société retraitée qui confond les larmes et les embruns, pour ce qu'elles ont de souvenirs iodés à retenir dans les filets. Plus loin, près de la capitainerie, la butte de Sion jette un regard circulaire sur l'ensemble de la ville. Elle ressemble, en ce matin d'été, à l'idéal que l'on se fait du bonheur transversal : entre l'impression d'être ancrée ici tout en étant ailleurs. C'est sûr que la mer aimante ce qu'elle touche. C'est sûr que la mer déverse, sur le sillon des fins reliefs, la preuve que sans elle, Vierzon ne serait pas Vierzon. Le marché fourmille, sur les places centrales. Le soleil, déjà chaud, est à marée haute. Une trace de vent raye l'air lourd à porter. Les bistrots sont accoudés à la curiosité de la foule : c'est étonnant comme les terrasses s'étalent, comme elles semblent animées de l'électricité marine qui, une fois coupée, c'est sûr, rend la mer plate comme une rue piétonne. L'étrange idée qu'on se fait d'être ici n'est rien à côté de cette formidable idée d'y être née. La mer a son industrie propre et son économie personnelle. Vierzon sans la mer aurait ressemblé à ces villes moyennes punaisées au centre de la France sans qu'aucun grain de sable ne déborde de son destin. C'est étonnant d'être d'un continent tout en étant relié à la mer, cette faculté d'être à la fois le solide et le liquide, de défier les loirs de la transparence. J'allonge un pas décidé vers les rues que je préfère, les deux-trois cafés où sont sanglés les derniers secrets du jour et qui m'attendent, comme autant de valises à emporter. Plus on s'éloigne du port, dans le ventre de la ville, plus la ville durcit son statut de ville. Plus on s'enfonce dans la terre, plus la terre vous admet. Entre les rives et la tonitruante cité de l'arrière-ville, deux mondes s'affrontes. Ils étaient quatre jadis, quand la ville éclatée en quatre entités distinctes, se disputaient son destin. Quand plus tard, par raison, la ville a noué ses quatre communes indépendantes, chacune d'entre elles a gardé sa ligne d'eau, ses aspects, son nom, sa façon d'être. Etre de Vierzon ne signifie pas être à Vierzon, mais des Forges, de Villages, de Ville ou de Bourgneuf. Les quatre quartiers bruissent pourtant des vagues qui reviennent, je les entends galoper, pour remettre à niveau, la mer avec la terre. Pour remettre l'île Marie dans sa façon d'être une île. Je suis à la terrasse du café « T'as voulu voir... » Brel y a laissé une dédicace amoureuse. Si Vierzon avait la mer, serait-ce encore Vierzon ou une façon d'être Vierzon ?

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