Après la rue Joffre, la place Foch et la place Aristide Briand. On se souvient d'une levée de boucliers contre une petite épicerie qui avait ouvert ses portes dans la rue Joffre et qui a dû les fermer. Son tort : vendre de l'alcool. Ce qui générait une occupation intempestive d'une partie du sol par quelques adorateurs de bière et d'alcools forts qui, en grappes, généraient un attroupement mal vu. L'épicerie a fermé. Du coup, le groupe s'est déplacé place du Marché au blé où une autre épicerie existe toujours.
Mais depuis l'ouverture d'un commerce d'épicier place Foch et d'un autre, simultanément, place Aristide Briand, le groupe a pris position sur les deux places, Foch en journée, Briand en soirée. A tel point que des riverains et des commerçants se sont plaints auprès de l'office machin-chose du commerce de Vierzon. Du coup, l'office a fait remonter le message auprès du commissariat de Vierzon. Disons qu'il y a plus de monde qui stationne sur la place Foch toute la journée auour de l'épicerie comme des abeilles autour d'une ruche que de commerçants non sédentaires le samedi, pour le marché, sur cette même place. Evidemment, ça peut agacer. Vierzon est une ville curieuse : quand il n'y a pas de commerces, on se plaint. Quand il y en a, on se plaint aussi, pas des commerces mais de la clientèle qui gravite autour. La rue Joffre n'a plus ce problème, vu le nombre de commerces qui restent....