Finalement, de révoltant cela en devient déprimant. Le trottoir de l'avenue Henri-Brisson, celui du lycée du même nom, est devenu le mètre-étalon, d'une ville qui ne se respecte plus. La preuve : depuis plusieurs jours, des détritus s’amoncellent sous les bancs devant le lycée alors que des poubelles, on en compte au moins cinq, sont installées de part et d'autre. Entre ceux qui balancent tout par terre et la ville qui n'assure pas son rôle, voilà une belle image du lycée. C'est étrange, le phénomène s'était calmé, puis il reprend. Sans que rien ne change : ni la fréquence des nettoyages, ni la conscience de ceux qui, pourtant, sont en milieu scolaire...