C'est un syndrome qui après avoir frappé le lycée Henri-Brisson et son trottoir, frappe aujourd'hui la nouvelle entrée du lycée Edouard-Vaillant. En effet, des études scientifiques ont prouvé que plus la poubelle est près et plus les détritus peinent à y entrer. Surtout, plus les poubelles sont près et pus celles et ceux qui devraient y jeter les détritus n'y arrivent pas. Une déficience qui a atteint, après les trottoirs du lycée Henri-Brisson (sept poubelles et encore des papiers à côté !), l'entrée, nouvellement refaite, du lycée Edouard-Vaillant. En revanche, quelques coups de pieds au cul qui, à la différence des détritus, ne ratent pas leur cible, seraient les bienvenus pour faire comprendre aux jeunes élèves et à ceux qui fréquentent le muret, que les détritus ont leur place dans les poubelles. Et qu'un cerveau, ça ne sert pas seulement à envoyer des textos. Mais à permettre aux bras, aux mains et aux doigts d'accomplir des petits miracles quotidiens : comme mettre sa canette vide dans une poubelle.