Ses fonctions valent un programme : vice-président de la Chambre des métiers, président de la Confédération des artisans et des petites entreprises de l'artisanat, responsable lui-même, à Méreau, d'une entreprise générale de bâtiment, Richard Carton, 38 ans, fait de sa candidature, un engagement citoyen. Avec Marie Teyssou, artisan d'art, matelassière-tapissière à Lazenay, Richard Carton n'avance pas d'étiquette, mais le besoin d'une représentation et d'une visibilité auprès notamment du commerce de proximité et de l'artisanat, mais pas seulement. Un thème très largement absent des présidentielles et encore plus des législatives. Richard Carton, et c'est rare, a le privilège de la réalité du terrain. C'est son premier engament politique, au sens noble du terme, au-delà des querelles habituelles et stériles.
Le candidat connaît bien le monde du commerce et de l'artisanat, il intervient autant sur Bourges que sur Vierzon, engagé aussi dans le pays de Vierzon et dans tous les thèmes transversaux qui concernent son domaine de prédilection, le monde économique qui ne se fait pas dans un bureau entre quatre murs, mais au contact de la réalité, du terrain, des commerçants et des artisans. Pour lui, il y a des choses faciles à mettre en oeuvre, encore faut-il avoir la volonté, et encore faut-il surtout, être sensibilisé aux problèmes. Regardez Vierzon, qui se soucie véritablement du commerce de proximité ? De l'artisanat ? Personne. Un commerce ferme, aucune réaction. Comme si le commerce était coupé de toutes activités économiques, qu'il ne générait aucun emploi. Voici donc la candidature de Richard Carton dans les autres candidatures institutionnelles de politiques professionnels, pour la plupart, ou de candidats engagés pour un parti, sans cette liberté de penser et de s'exprimer. Parler du commerce dans un engagement politique, voilà qui ne peut que plaire à Vierzonitude !