Un article du Dauphiné, revient sur le plan B des députés qui ont été battus. "Bon gré mal gré, les quelque 200 députés sortants battus aux législatives reprennent le chemin qui de la fonction publique, qui de la recherche d’un poste dans le privé, une reconversion pas toujours évidente. Les anciens députés, battus il y a quelques jours, gardent un droit d’accès à l’Assemblée. Mais une page se tourne doucement : il faut boucler les comptes de campagne, rendre la permanence en circonscription, licencier ses collaborateurs – « on se sent responsables, c’est difficile »
Alors que deviennent-ils les députés battus ? Le Dauphiné donne des exemples. "D’autres ont des mandats locaux leur permettant le cas échéant de rebondir, tel Nicolas Sansu (Front de gauche), maire de Vierzon. Idem pour Catherine Vautrin (LR), présidente du Grand Reims." C'est vrai qu'un mandat local c'est pratique. Surtout quand on décide de partir, certain d'être réélu et qu'on se retrouve battu alors du coup, on decide de rester... Mais c'est gentil au Dauphiné de s'inquiéter du sort de l'ex-député de Vierzon.
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Les députés battus cherchent un "plan B"
Les anciens députés, battus il y a quelques jours, gardent un droit d'accès à l'Assemblée. Mais une page se tourne doucement : il faut boucler les comptes de campagne, rendre la permanence en ...
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