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Vierzonitude

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Le refuge de Vierzon ne peut plus accueillir de chiens, venez en adopter

Publié par vierzonitude sur 16 Juillet 2017, 08:47am

Depuis le 10 juillet, "le refuge ne peut plus accueillir de chiens, il n y a plus de place, nous n avons jamais connu ça", peut-on lire sur la page Facebook du refuge municipal de Vierzon.

"Pensez à adopter, il y a plein de chiens, de toutes races, même de petites tailles (chihuahua de 3 ans , 2 bouledogues,  berger, labrador...) Il y a aussi des chiens qui arrivent identifiés et on ne retrouve pas les maîtres car les adresses et le téléphone ne sont pas valides. Venez leurs rendre visite et pourquoi pas en adopter un, ils ont tous du charme."

Le refuge-fourrière de la ville de Vierzon recueille les chiens perdus ou abandonnés. Les animaux qui n'ont pas été réclamés par leurs maîtres sont proposés à l'adoption. En 2015, 130 chiens, dont 39 chiots ont été adoptés, et 270 chiens sont venus en pension.

Contactez le refuge si :

vous souhaitez adopter un chien ou mettre votre animal en pension vous voyez un animal errer dans votre quartier vous voulez vous séparer de votre chien
 

Les missions du refuge sont :

recueillir les chiens en divagation sur le domaine public du territoire communal ou des communes adhérentes mettre tout en œuvre pour assurer le bien-être des animaux, qu’ils soient au refuge, en pension (chiens et chats) ou en fourrière. accueillir et conseiller les personnes désireuses de se séparer de leur animal, d'adopter ou de le mettre en pension
À savoir : tous les chiens trouvés non réclamés par leurs maîtres sont proposés à l'adoption dans les huit jours qui suivent leur entrée au refuge.

Devenir bénévole

Le refuge municipal de Vierzon recherche des bénévoles disposant de temps libre pour promener les chiens. Si vous êtes intéressé(e) par cette activité, contactez le refuge.

Adopter un chien

Le refuge municipal de Vierzon accueille en ce moment plusieurs chiens à l’adoption. N'hésitez pas à venir à leur rencontre.

Contact

Refuge-fourrière municipale 
Route du Petit Râteau 
02 48 71 52 29 ou 06 33 13 05 50
refuge.canin@ville-vierzon.fr

Horaires d'accueil
Du lundi au vendredi 14h à 17h et le samedi de 10h à 12h et de 14h à 17h

Contact

Refuge-fourrière municipale
Route du Petit Râteau
02 48 71 52 29 ou 06 33 13 05 50
refuge.canin@ville-vierzon.fr

Horaires d'accueil
Du lundi au vendredi 14h à 17h et le samedi de 10h à 12h et de 14h à 17h

Le refuge de Vierzon ne peut plus accueillir de chiens, venez en adopter
Le refuge de Vierzon ne peut plus accueillir de chiens, venez en adopter
Le refuge de Vierzon ne peut plus accueillir de chiens, venez en adopter
Le refuge de Vierzon ne peut plus accueillir de chiens, venez en adopter
Le refuge de Vierzon ne peut plus accueillir de chiens, venez en adopter
Le refuge de Vierzon ne peut plus accueillir de chiens, venez en adopter
Le refuge de Vierzon ne peut plus accueillir de chiens, venez en adopter
Le refuge de Vierzon ne peut plus accueillir de chiens, venez en adopter
Le refuge de Vierzon ne peut plus accueillir de chiens, venez en adopter
Le refuge de Vierzon ne peut plus accueillir de chiens, venez en adopter
Le refuge de Vierzon ne peut plus accueillir de chiens, venez en adopter
Le refuge de Vierzon ne peut plus accueillir de chiens, venez en adopter
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Le refuge de Vierzon ne peut plus accueillir de chiens, venez en adopter
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Le refuge de Vierzon ne peut plus accueillir de chiens, venez en adopter
Le refuge de Vierzon ne peut plus accueillir de chiens, venez en adopter
Refuge canin

Refuge canin

Le refuge-fourrière de la ville de Vierzon recueille les chiens perdus ou abandonnés. Les animaux qui n'ont pas été réclamés par leurs maîtres sont proposés à l'adoption.

http://www.ville-vierzon.fr/refuge-canin.html

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Commenter cet article
M
Macaron
12/07/2017 14:38
Bravo à Vierzonitude d'en parler et de publier ces photos avec l'état civil. Il faudrait le faire régulièrement.
Répondre
V
vierzonitude
12/07/2017 14:40
On va essayer !

Vierzon-sur-Mer

Le phare de l'île Saint-Esprit enfonce son regard oblique dans le ciel rond. L'estran met l'île Marie à portée de terre. Le temps d'une marée basse, elle s'attache au continent dans le ronronnement doux de la mer qui revient. De là où s'effrite le sable, Vierzon jette ses dernières lumières dans la bataille de la nuit. Au petit jour, le Bistrot du port déversera ses cales de croissants tièdes sur les habitués de la Renverse, le bateau du père Seb, le premier à sortir, le dernier à rentrer. Le zinc tanné par les manches des cirés jaunes bavarde ses silences imposés : parfois, dans le bistrot salé, il faut faire place au silence pour mieux veiller aux récits. Le café se remplit chaque heure d'une houle synthétique, fait d'humains en partance, en revenance, entre deux horaires. Il y a la crème des commerçants, le dessus du panier des marins-pêcheurs, la haute société retraitée qui confond les larmes et les embruns, pour ce qu'elles ont de souvenirs iodés à retenir dans les filets. Plus loin, près de la capitainerie, la butte de Sion jette un regard circulaire sur l'ensemble de la ville. Elle ressemble, en ce matin d'été, à l'idéal que l'on se fait du bonheur transversal : entre l'impression d'être ancrée ici tout en étant ailleurs. C'est sûr que la mer aimante ce qu'elle touche. C'est sûr que la mer déverse, sur le sillon des fins reliefs, la preuve que sans elle, Vierzon ne serait pas Vierzon. Le marché fourmille, sur les places centrales. Le soleil, déjà chaud, est à marée haute. Une trace de vent raye l'air lourd à porter. Les bistrots sont accoudés à la curiosité de la foule : c'est étonnant comme les terrasses s'étalent, comme elles semblent animées de l'électricité marine qui, une fois coupée, c'est sûr, rend la mer plate comme une rue piétonne. L'étrange idée qu'on se fait d'être ici n'est rien à côté de cette formidable idée d'y être née. La mer a son industrie propre et son économie personnelle. Vierzon sans la mer aurait ressemblé à ces villes moyennes punaisées au centre de la France sans qu'aucun grain de sable ne déborde de son destin. C'est étonnant d'être d'un continent tout en étant relié à la mer, cette faculté d'être à la fois le solide et le liquide, de défier les loirs de la transparence. J'allonge un pas décidé vers les rues que je préfère, les deux-trois cafés où sont sanglés les derniers secrets du jour et qui m'attendent, comme autant de valises à emporter. Plus on s'éloigne du port, dans le ventre de la ville, plus la ville durcit son statut de ville. Plus on s'enfonce dans la terre, plus la terre vous admet. Entre les rives et la tonitruante cité de l'arrière-ville, deux mondes s'affrontes. Ils étaient quatre jadis, quand la ville éclatée en quatre entités distinctes, se disputaient son destin. Quand plus tard, par raison, la ville a noué ses quatre communes indépendantes, chacune d'entre elles a gardé sa ligne d'eau, ses aspects, son nom, sa façon d'être. Etre de Vierzon ne signifie pas être à Vierzon, mais des Forges, de Villages, de Ville ou de Bourgneuf. Les quatre quartiers bruissent pourtant des vagues qui reviennent, je les entends galoper, pour remettre à niveau, la mer avec la terre. Pour remettre l'île Marie dans sa façon d'être une île. Je suis à la terrasse du café « T'as voulu voir... » Brel y a laissé une dédicace amoureuse. Si Vierzon avait la mer, serait-ce encore Vierzon ou une façon d'être Vierzon ?

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