Quoi ? Mais qu'il nous soit permis de protester, haut et fort. Car la vaguelette de béton qui surplombe la future place Jacques-Brel
et empêche tout automobiliste passant rue Armand-Brunet de deviner qu'au delà de ce mur, il y a un canal (pas étonnant qu'il se soit pendu dans la chanson de Brel...), n'est qu'une pâle copie d'une vague vierzonnaise que Vierzonitude a déniché, au hasard de ses pérégrinations, le nez au vent.
La voici :
Avouez qu'elle domine son monde. Pour des raisons de discrétion, nous ne dévoilerons l'emplacement géographique exact de cette vague, mais sachez qu'elle n'est pas loin du Cher (la rivière pas le département). C'était notre rubrique : dédicace à celles et ceux que parler de la vague sur ce blog agace.