Côté place Fernand Micouraud : le muret a été crépis, très sympa avec quelques pierres laissées apparentes.
Voici l'autre façade de l'ancienne Poste, vue côté place Fernand Micouraud. C"est sur cette façade qu'une bâche avec un portrait de Jacques Brel devrait être déployée.
Côté place Fernand Micouraud, la rampe d'accès pour personnes à mobilité réduite se poursuit. Les marches sont toujours aussi aléatoires...
Côté rue Armand Brunet, on aperçoit un nouveau banc. Bon, on a, à peu compris où s'asseoir.
On nous râbache, attendons que ce soit fini. Mais c'est fini. Et le mur côté rue Armand Brunet reste un mur. Le béton reste le béton. Un effet encore plus visible côté place Fernand Micouraud avec la rampe d'accès et les marches qui tranchent avec le muret crépis et les pierres.
Les garde-corps du belvédère et des escaliers (côté place Fernand Micouraud) ont été installés.
Le belvédère possède son plancher (du bois) et ses garde-corps. Ceux du devant sont plains et transparents. Ce belvédère qui domine la place Fernand Micouraud, ça en jette pas mal. Reste à savoir quelle vue on peut avoir d'ici, sachant que les arbres (on le voit rue Armand Brunet) gâche un peu la vue plongeante sur le canal.
La façade de l'ancienne Rotonde, rue Voltaire, est refaite. Chapeau, ça donne un effet propre et fini. Question : restera-t-elle ainsi ou y-aura-t-il une fresque ? Un mur végétal ? Quelque chose ou rien du tout ?
On ne pouvait pas ne pas finir par la vague. Toujours aussi brute de béton. Toujours aussi massive. Plus la place prend du volume, plus elle est débarrassée, et plus cette vague sonne comme une incongruité. On se dit aussi que les arbres sont disproportionnés par rapport à la grandeur de la place, un peu comme cet arbre rachitique planté sur le giratoire de la place Gabriel Péri. Sinon, vu du haut de l'avenue de la République, la place Jacques Brel apporte luminosité, respiration, contrairement aux immeubles qui s'y trouvaient avant. Mais vue de près, il est vrai que cet amas de béton, qu'on nous vend avec les plus belles explications du monde, reste tout de même un amas de béton dont la compréhension reste... vague !