Le problème, quand on est au centre, comme les... Centristes, c'est que ça peut vite pencher d'un côté ou d'un autre. C'est toujours compliqué d'être en équilibre sur une jambe sans savoir où psoer la deuxième.
A Vierzon, les centristes sont dans une lessiveuse. En juillet, le Centre vierzonnais se targuait, dans la presse d'être "chef de file" et "de constituer une liste" avec le candidat-gendarme sans étiquette. Le Centre dévoilait même, en n'engageant que lui, la teneur des colistiers, un peu de poudre de Perlimpimpim, un peu de ci, un peu de ca pour faire plaisir à tout le monde et ne satisfaire personne.
En septembre, le même Centre vierzonnais avançait ses pions, toujours dans la presse, au moins c'est écrit, en expliquant, sans que le candidat officiel n'ait encore pipé mot sur la fonction des éventuels colistiers que le Centre ne cachait pas son intérêt "pour l'intercommunalité". Message subliminal destiné à acter une place.
En octobre, la Toussaint toute proche doit sans doute miner le moral, on lit ça : "Nous sommes bien en discussion avec Christophe Doré même si les choses sont compliquées. Mais rien n’est fait." Le Centre c'est comme ça : en juillet ça penche du bon côté des choses, en septembre ça penche encore du bon côté des choses et en octobre, ça penche du mauvais. D'ici à ce qu'on nous fasse le coup du "en même temps."
Ah, mais non, ça c'est déjà pris par le maire sortant. Décidément, Vierzon restera Vierzon...