Si ce n’est pas se moquer du monde, ça, d’enfiler des perles de promesses sur le fil d’une impossible réalité, ça s’appelle comment ? Alors, on va nous dire, oui, mais justement, la réalité sur le terrain est différent de la réalité politique.
Un peu comme font les communistes à Bourges : ils vantent les mérites d’un transport gratuit parce qu’ils ne sont pas aux commandes. Le P.C de Vierzon n’en a jamais eu l’idée et le P.S attend d’être acculé à une élection pour sortir ça de son chapeau.
Vous allez voir qu’ils vont nous promettre des arbres avenue de la République avec un sens unique, un musée international des tracteurs, un service public de ramassage des encombrants, une baisse des taxes locales, un aéroport à Méreau, un port de plaisance au quai du Bassin, du bitume à gogo et des trottoirs en veux-tu, en voilà.
Les promesse n’engagent que ceux qui les font. On espère que les électeurs vierzonnais regarderont à deux fois, ce qui est du domaine du possible, de ce qui découle du domaine de la pêche aux voix avec appât.