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Les Dieux du stade dans leur plus simple appareil
Triste de voir le ballon ovale disparaître des écrans depuis la fin de la Coupe du monde ? Contrarié par l'élimination de la France en quart de finale de la compétition ? Séchez vos larmes. I...
https://next.liberation.fr/arts/2019/11/21/les-dieux-du-stade-dans-leur-plus-simple-appareil_1764810
C'est Libération qui le dit : "Pris en main par le photographe de mode Pierre-Ange Carlotti pour son édition 2020, le célèbre calendrier revient au naturel : que des rugbymen garantis sans retouche."
"Cette année, nous explique encore le magazine Next de Libération, Pierre-Ange Carlotti, photographe exerçant habituellement dans le milieu de la mode qu’il shoote à l’argentique, se charge de la mince affaire. Et s’éloigne franchement du style des éditions précédentes. Proche de l’underground fashion, collaborant avec Jacquemus, Vetements et Balenciaga, Carlotti développe une imagerie à forte charge érotique, auréolée d’une atmosphère sulfureuse, comme teintée de vapeur de weed. Carlotti fait principalement de la photo couleur, et préfère le naturel à la retouche grossière."
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Les Dieux du stade 2020 : découvrez 8 images du calendrier et des coulisses
Attention les yeux ! Les Dieux du Stade se dévoilent, cette année encore, dans l'édition 2020 de leur calendrier. Des scènes brutes, sans fards, immortalisées par le photographe Pierre-Ange ...
Et notre Sofiane Guitoune, là-dedans, le Vierzonnais beau gosse qui a joué la dernière coupe du monde avec les Bleus ? Il en est en est à sa quatrième participation "et se marre, assure Libération, quand on lui dit que sa photo est mi-figue mi-raisin du point de vue érotique (le garçon incarne un mois de mars tout sourire qui cache son intimité derrière une simple serviette). A 30 ans, le joueur du XV de France avoue qu’il participe aux Dieux du stade avant tout pour «[s]on plaisir» , et constate que le public touché est vaste : «Des filles, des garçons, des homos et même les copines de ma mère.» Et d’ajouter : «Cette fois, on est revenu à des choses simples. Le calendrier est plus sobre. L’idée c’était, je crois, de reconquérir le public car le calendrier a un peu perdu de sa splendeur ces dernières années.»